dimanche 30 mai 2021

Génocide au Rwanda : Macron ment par omission

 


En visite au Rwanda, au mémorial du génocide contre les Tutsi qui a fait plus de 800 000 morts il y a vingt-sept ans, Macron a déclaré que la France n’était pas complice mais a reconnu sa « responsabilité accablante dans un engrenage qui a abouti au pire ». C’est jouer sur les mots.

Les témoignages d’anciens militaires et l’ouverture des archives montrent que c’est bien l’État français qui a choisi d’armer et d’entraîner les milices génocidaires. Le président de l’époque, le « socialiste » Mitterrand, et son gouvernement étaient parfaitement au courant qu’ils leur donnaient les moyens de perpétrer un massacre. Puis la France a permis aux dirigeants génocidaires de s’enfuir et pour certains de couler des jours heureux en France.

C’est cela la politique sanglante de l’impérialisme français en Afrique.

 

 

 

 

         Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,2 euro) n°2754, et Lutte de classe (2,5 euros) n°216 :

         Lors de nos permanences de la semaine à venir :

-ce dimanche 30 mai, de 11 heures à midi marché Héloïse.

-mercredi 2 juin de 11 h. à 11h.30 marché des Champioux.

         Chez les marchands de la presse :

                   -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac de la « dalle » ;

                   -librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri.

 

Attention : mes 5 articles du jour apparaissent parfois sur deux pages voire sur trois pages. Pour lire les 5 articles, cliquez en bas de la première page sur « articles plus anciens). DM

La commune de Paris, Lutte ouvrière au Mur des fédérés

 


Lutte ouvrière au Mur des fédérés

Chaque année, à la fin mai, le Mur des fédérés du haut du cimetière du Père-Lachaise, où sont tombés les derniers communards, voit la commémoration de la Semaine sanglante de 1871.

Encore plus cette année, pour le 150e anniversaire de la Commune, Lutte ouvrière tient à honorer ce qui fut la première expérience de pouvoir ouvrier.

Elle donne rendez-vous pour cela :

Ce dimanche 30 mai à 11 heures, à l’entrée du Père-Lachaise, 58, rue des Rondeaux, Paris 20e, métro Gambetta.

On compte sur vous !

Argenteuil, le Mai des artistes, les quartiers populaires et les paysages locaux

 

Pour un Mai culturel qui se diffuse partout

Comme le temps, le Mai des artistes a repris des couleurs depuis hier dans plusieurs sites de la Ville.

         Certes la reprise est limitée, car ce n’est toujours pas simple, mais elle démontre la volonté d’artistes de faire connaître leurs œuvres ou de passionnés de la culture de diffuser la connaissance.

         Ce n’est pas simple de mobiliser les amateurs ou ceux qui ne le sont pas mais pourraient le devenir. Actuellement, on ne peut que constater que les habitants des quartiers populaires, sauf une minorité infime, ne participent pas à une telle initiative. Changer cela fait partie d’un ensemble d’actions qui doit être aussi au cœur de l’activité militante, et devrait entraîner les personnels de l’éducation.

         Quant à l’action municipale, marginale en ce domaine au-delà de l’engagement d’agents de la Commune et de quelques soutiens municipaux, elle ne peut qu’être entravée par les orientations municipales qui l’amènent à gâcher des éléments propices à la diffusion culturelle. C’est un des aspects du refus largement partagé du projet Cap Héloïse qui, s’il se réalisait, non seulement terminerait l’œuvre de destruction du paysage de berge argenteuillais cher aux Impressionniste, mais entraînerait la liquidation d’une salle propice à l’action culturelle, des associations en particulier. DM

 

Nous vous conseillons aujourd’hui la visite des ateliers du 5, de l’Imagerie, de l’atelier de Kambach de Nadine Fort, et de la librairie Le Presse-papier en semaine.

         Aux ateliers du 5, rue des Gobelins, près de la MJC, visite des ateliers des artistes, et une exposition de plusieurs artistes de très grande qualité.

         À l’Imagerie, rue du 8 mai 1945, à 16 heures, une présentation de l’association des amis de Georges Braque dont l’objet est de retrouver des éléments pouvant permettre de comprendre comme la prime enfance de l’artiste à Argenteuil, de 1882 à 1890 (avant que la famille ne migre vers Le Havre) a pu l’orienter  vers l’œuvre que l’on connaît.

         16 boulevard Jean Allemane, l’atelier tel qu’on l’aime, celui des créateurs Kambach et Nadine. Cela vaut le détour.

         Le Presse-papier en semaine présente les œuvres de la jeune libraire et peintre Margot dont les œuvres actuelles laissent imaginer un joli futur parcours. DM

 

On nous informe

L’association Sous les couvertures reprend ses activités publiques, sous forme d’une grande braderie de livres à prix dérisoires qu’elle organise au marché de la Colonie dimanche prochain 6 juin, de 10 à 17 heures.