mardi 26 novembre 2019

Alcoolisme : un combat de tous les instants… loin des préoccupations de Macron


La pression des patrons fait reculer le gouvernement



Suivant l’exemple du mois sans tabac, des associations de lutte contre l’alcoolisme voulaient mettre en place, avec l'appui du gouvernement, un mois sans alcool en janvier.
        Jeudi 14 novembre, en déplacement ans la Marne, E. Macron a rencontré autour d’un déjeuner des représentants du milieu viticole. À la fin du repas, le syndicat de vignerons se félicitait que soit abandonnée l'idée d'un « janvier sec ».
     Chaque année, l’alcool est responsable de 45 000 morts, mais le gouvernement s’en moque. Pour lui, la prévention s’arrête où commencent les profits des capitalistes vendeurs d’alcool !

Argenteuil : combat contre les violences faites aux femmes. Une soirée autour d’un film organisée par la Maison des femmes


J’y serai, DM




Et quand on veut, on peut trouver ce qui manque

         A l’occasion du « Grenelle sur les violences conjugales », la Maison des femmes ouvrait ses portes ce lundi à Argenteuil.
         Les élus présents ont pu constater l’exiguïté de la salle de réunion et d’activité de cette Maison.
         Des locaux insuffisants, des agents en nombre insuffisant également, un local totalement inadapté pour les réunions, des mesures d’urgence s’imposent.

Argenteuil stationnement payant, il gagne toujours plus de terrain aux dépens de la bourse des travailleurs


Georges Mothron s’attaque aux révolutionnaires de 89 !



La mort de Bara de Jean-Joseph Weerts

Lors du dernier conseil municipal, la municipalité a voté l’extension du stationnement payant à deux petites voies des abords de la gare d’Argenteuil centre, dans le quartier du marché de la Colonie, l’impasse Marceau et la rue Joseph Bara.
         Georges Mothron a peut-être la phobie de la voiture, mais elle est nécessaire pour bien des travailleurs qui prennent ensuite le train… Et puis, ces deux voies sont aux abords du marché de la Colonie du samedi dont la réhabilitation est censée être encouragée par ladite municipalité.
         De Bara à Marceau, attention quand on s’attaque à la Révolution ! DM

lundi 25 novembre 2019

Whirlpool : Macron tente d’assurer le service après-vente de sa politique


Impuissants car serviteurs de la bourgeoisie



Macron est retourné sur le site de Whirlpool, où il avait promis durant sa campagne présidentielle le maintien du site et des emplois. Depuis cette promesse, des millions de fonds publics ont été captés par un repreneur véreux qui est parti sans laisser ni adresse ni les clés du coffre. « Est-ce que cela a été un échec ? » a demandé, faussement naïf, Macron. « Oui », a-t-il concédé, ajoutant aussitôt que ce n’était pas son échec à lui, mais la faute à « pas de chance ». La blague a un gout saumâtre pour les ouvriers de Whirpool, et plus généralement pour tous les licenciés ou futurs licenciés du pays. Plus généreux de bons mots qu’en emplois, il a dit qu’il se considère dans « dans le même navire que les salariés ».
Son délire de capitaine de pédalo en campagne ne trompe personne. Il illustre tout au plus que ce n’est ni lui, ni son gouvernement qui décident, mais les capitalistes.

Violences faites aux femmes : le gouvernement laisse faire


Quand de trop nombreuses plaintes ne sont pas prises ou classées sans suite. Ça suffit !



Le nombre de femmes mortes sous les coups de leur conjoint ou ex-conjoint a encore augmenté cette année : 131 déjà pour l’année 2019. Elles sont 200 000 à subir des violences conjugales et 80 000 victimes de viols ou de tentatives de viols.
Dans 41 % de ces meurtres, ces femmes avaient rapporté les faits de violences du conjoint dans des commissariats. 80 % des plaintes avaient été classées sans suite.
            Mais le gouvernement se paye de mots avec  un  pompeux « Grenelle des violences conjugales », car il n’avance pas le moindre moyen. Selon les associations féministes, il faudrait un milliard d’euros pour répondre aux premières urgences, ne serait-ce que pour ouvrir des lieux d’hébergement d’urgence avec accompagnement.
         Des mots, que des mots, pour ne pas lutter contre les maux les plus criants.