dimanche 29 octobre 2017

Argenteuil services publics en déroute


Défendons à Argenteuil ces services publics utiles à la population

Il n’y a plus qu’une modeste poste pour le Val Nord et le Val Sud et cela pour 25 000 habitants !
Il n’y a plus de guichet grandes lignes à Argenteuil, il faut aller à Saint-Lazare !
Il n’y a pas un commerce alimentaire à la mesure de la population du Val Nord et de ses moyens !
Il n’y a plus qu’une agence de la Sécurité sociale. Chaque jour, une queue afflige le trottoir, et les travaux extérieurs sont abandonnés depuis des mois !
Il n’y a plus de boutique France Telecom Orange à Argenteuil ! Il faut aller à Taverny !
Le jeudi matin, l’hôtel de ville est fermé.
On supprime les EVS dans les écoles primaires, on n’embauche pas les AVS nécessaires, on surcharge les effectifs des classes !
Et l’on en passe…
Et cerise sur ce gâteau moisi, il faudrait qu’il n’y ait plus de salle des fêtes pour les écoles, les habitants et les associations ?
Non et non !



Ordonnances Macron et référendum d’entreprise : le droit de dire « oui » ou « oui » à son patron…


Non, ce n’est une pression, mon œil !



D’après l’un des projets de décret d’application des ordonnances Macron, le patronat des entreprises de moins de vingt salariés pourra organiser un référendum pour modifier les rémunérations ou le temps de travail, sans obligation que ce vote soit réalisé à bulletins secrets. «Pour alléger au maximum les contraintes pour les patrons», justifie le gouvernement. Que les patrons puissent imposer ce qu’ils veulent, comme ils veulent, c’est ça la simplification version Macron !
Il y a vraiment toutes les raisons de continuer à se mobiliser contre les projets scélérats de ce gouvernement à plat ventre devant les patrons.
Le 16 novembre est une nouvelle occasion de le faire.

Sodexo : manœuvres cyniques pour récupérer la bonne soupe

Une petite leçon d’« industrialisation »/ «désindustrialisation » que nous dédions au président du CEA

Contre la fermeture de Sodexo

Les 62 salariés de Sodexo (entreprise de restauration collective) se sont mis en grève depuis le 16 octobre, après avoir appris la décision de leur direction de fermer le site de Dreux. Lorsque Sodexo s’était installé à Dreux en 2009, le groupe été présenté comme un pionnier de la " réindustrialisation " du site de La Radio, une friche laissée par Philips après la fermeture de son usine il y a une dizaine d’années ! La réindustrialisation n'aura pas duré longtemps. Pour sa part, Sodexo est une entreprise cotée au CAC 40 et a réalisé, l’an passé, plus de 17 milliards de chiffres d’affaire. C’est dire qu’elle aurait largement les moyens de maintenir les emplois de tous. Mais la direction ne s’est même pas donnée le mal de justifier la fermeture du site drouais, présenté lors de son ouverture comme une des plus grandes cuisines centrales de France, et propose aux salariés de partir avec des indemnités de misère, quelle que soit leur ancienneté, car les ordonnances Macron sont passées par là.
C’est face à ce cynisme que les travailleurs ont malgré tout décidé de se faire entendre pour obtenir de meilleures conditions de départ. Ils sont allés manifester lors de la présentation du parcours du Tour de France car ce sont eux qui préparaient les repas du tour l’an passé. Ils se sont également rendus successivement rendus devant les sièges de Sodexo France et de Sodexo Europe, rebaptisés « Sodexcro ». Pour l’instant la direction n’a pas reculé, mais les travailleurs ne comptent pas en rester.

A partir d’un message de l’Union Départementale CGT du Val d’Oise

Les « SODEXO » de DREUX toujours en lutte !!!

Les camarades de Sodexo Dreux continuent leurs actions devant tous les sites d’Ile de France pour dénoncer la

Fermeture de leur cuisine centrale de DREUX

et les 62 suppressions d’emplois !!! 

Avant-hier, vendredi 27 octobre 2017, ils ont fait un piquet de grève devant le site d’OSNY (95520)  



Une réunion de négociations aura lieu

Le lundi 30 octobre 2017

RDV à partir de 10h

Devant le siège de SODEXO France

6 rue de la Redoute
78280 GUYANCOURT

Venez nombreux les soutenir !!!

Mayotte : écoles fermées car manque de moyens


Alors qu’il y aurait au contraire tellement besoin de moyens supplémentaires



A Mayotte, c'est la rentrée scolaire mais de nombreuses écoles sont restées fermées. La raison ? L’État a diminué le nombre d'emplois aidés et l'accueil des enfants est impossible. A Mamoudzou, par exemple, le chef-lieu, le nombre de contrats aidés est passé de 239 en août à 132 aujourd'hui.
Finalement, le gouvernement a un peu reculé en promettant des dotations… pour le second semestre. En attendant les écoles restent fermées jusqu'à nouvel ordre.
Assez des coupes budgétaires dans les services publics !

Argenteuil, sur les traces du Groupe Octobre


Le 17 décembre prochain, une sortie à Paris des amis de Lutte ouvrière Argenteuil, pour aller voir, en souvenir d’ 

Octobre

On est au début des années 30.
Après la guerre c'est la crise : le chômage, la misère, la faim.
En Italie, en Allemagne, la peste brune fait son sale petit bonhomme de chemin. Mais en Espagne, les hommes qui ont faim son debout !
L'hirondelle de la révolution, l'oiseau rouge de la liberté, annonce le printemps dans le monde entier. Dans son sillage, des travailleurs, des chômeurs, et des poètes !
Des artistes : baladins, bateleurs, saltimbanques...
Ils sont communistes, anarchistes, antimilitaristes, anticolonialistes, antipatriotes, surréalistes... révolutionnaires !
Ils mettent leur art au service des opprimés, des exploités, des prolétaires du monde entier qui n'ont à perdre que leurs chaînes et un monde à gagner.
"Octobre", c'est l'histoire d'une de ces troupes qu'on appelait "d'agit' prop'".
Une troupe pas tout-à-fait comme les autres, car elle parlait avec les mots de... Jacques Prévert.



Le spectacle dure 1 heure 15, commence à 17 heures, et a lieu au Théâtre de Nesles au quartier latin vers Saint-Michel. Le tarif est de 20 euros, mais je pense que nous aurons un tarif de groupe à 15 euros par personne. Donc on se décide et on opère auprès de moi une réservation ferme. Salut et fraternité, Dominique