dimanche 4 juin 2017

Fête de Lutte ouvrière à Presles dans le Val d'Oise, deuxième jour


Tout est prêt pour vous accueillir. Dès ce matin, jusqu’à demain soir 20 heures, la fête bat son plein. Et il fait beau aujourd’hui et demain. Quelques photos sur mille possibles :
                                                            




         Si vous arrivez ce matin, il y aura encore des places dans le nouveau parking en plein champ, non loin de la fête. Suivez les panneaux…
         Il fait beau, mais pas trop chaud. Un pull de réserve. Deux pour ceux qui restent tard dans la nuit. Je serai aux entrées de 16 à 23 heures. DM.
Mais surtout :
Vive la fête de Lutte ouvrière !



Nathalie Arthaud était l'invitée de l'émission 8h30 politique sur France info hier. On en profite, cela ne durera pas

Argenteuil, P. Doucet a perdu la mémoire. Pas de très nombreux travailleurs et habitants


C’est la Valls a mis le temps (valse bluff)

 
Une si solide amitié

Le vallsien P. Doucet, porte-voix pendant des mois et des mois de Valls sur tous les médias possibles, porte-parole du même pendant les « primaires » socialistes, en binôme avec Valls depuis des années, tente aujourd’hui de dévallséïser  son image !
         C’est vrai que depuis quelques temps, l’étiquette n’est guère porteuse.
         Mais tout de même !
         Oublié le 49-3 ? Oubliée la Loi Travail ? Oubliée la déchéance de la nationalité ?
         P. Doucet veut prendre ses lecteurs pour des imbéciles et des amnésiques.
         Nous, nous n’oublions pas.
         Voter pour les militants qui entretiennent la mémoire. Votez Lutte ouvrière !

Macron, Mayotte, phare d'espoir des Comores : les horreurs d'un gosse de riche


Insanité d'un gosse de riche

 
La jeunesse dorée

Macron vient de faire une plaisanterie ignoble à l’encontre de ceux qui tentent de fuir les Comores et sa misère pour Mayotte, département français, en utilisant un bateau local dénommé « kwassa-kwassa ». Macron, gouailleur, a déclaré : « Mais le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du Comorien, c'est différent ».
         Parmi les enfants, les femmes et les hommes qui tentent de fuir la misère, chaque année, les naufrages font de très nombreuses victimes. Il y aurait eu 12 000 disparus en mer en vingt ans.
         Mais que peut ressentir de tout cela, le Macron né avec une cuillère d’argent dans la bouche qui ne l'a jamais quitté ?

Climat, capitalisme, il faut choisir


Climat ou capitalisme, il faudra choisir

 
La réalité, loin des embrassades

Trump vient de rejeter spectaculairement l'accord contre le réchauffement climatique signé en 2015 à Paris. Il le fait essentiellement pour des raisons de politique intérieure, pour faire croire à ses électeurs des milieux populaires qu'un accord, que les États-Unis n'avaient même pas commencé à appliquer, serait responsable du chômage.
Trump montre par cette décision ce que sont ces accords : un simple chiffon de papier que les États peuvent choisir de ne pas respecter. L'autosatisfaction gouvernementale française en 2015 et ses prétentions actuelles n'en sont que plus ridicules.
Ce n'est pas par des accords négociés entre des États, qui soutiennent chacun à leur façon leurs capitalistes « nationaux », que la catastrophe climatique pourra être conjurée. Mais par le renversement de ce système économique.