Parmi
les 250 Roms expulsés de Bezons, il y avait, selon la presse locale, dix
enfants scolarisés.
Pour les familles de ces dix enfants, il n’y
avait vraiment rien à faire pour qu’ils continuent à l’être normalement ?
Une municipalité ne peut pas tout régler
là où l’Etat se défausse. Mais une municipalité, à fortiori « ouvrière »
peut faire des gestes, en particulier à l’égard d’enfants qui sont l’avenir, de
tous, et de la communauté Rom !