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vendredi 8 septembre 2017

SNCF, cheminots, comme pour les travailleurs du privé, face aux attaques, un même combat


Cheminots, travailleurs du public ou du privé,  même combat

 


Le Monde vient de rendre publics les propos de Macron, échangés le 1er juillet dernier avec quelques cheminots lors de l'inauguration du TGV atlantique. Il annonçait vouloir remettre en cause, dès l'année 2018, le statut des cheminots, en particulier concernant leur retraite.
Il agit à l'égard des cheminots, qu'il présente comme des privilégiés, comme avec l'ensemble des travailleurs.
La seule façon de le faire reculer est de se mobiliser tous ensemble, quel que soit notre statut ou notre contrat de travail. Cela commence par être le plus nombreux possible dans la rue le 12 septembre.

dimanche 27 août 2017

Ordonnances ? Réformes ? Macron a des problèmes de vocabulaire…


Pas des réformes, mais des attaques anti-ouvrières !

 


Durant sa visite en Europe de l'Est, Macron n'a pas pu s'empêcher d'étaler son mépris pour les classes populaires  en déclarant que « les français n'aiment pas les réformes ». En un mot, que ce sont des idiots butés   Il veut supprimer les droits des travailleurs, donner les pleins pouvoir au patronat et il voudrait qu’on lui dise merci et on en veut plus ! Il appelle  réforme ce qui constitue une attaque frontale contre les conditions d’existence du monde du travail.
Exprime-t-il son dépit de voir son impopularité grandir ? En tout cas ses 26 000 € de frais de maquillage en trois mois ne parviennent pas à masquer son inquiétude devant la réaction à venir des travailleurs. 

Tous ensemble le 12 septembre à Paris et ailleurs !

jeudi 24 août 2017

« Emplois aidés » menacés, la catastrophe annoncée, un exemple très concret en province


Un exemple très concret de la catastrophe annoncée

 La banque alimentaire de la Haute Vienne a tenu une conférence de presse pour lancer un cri d'alerte : elle fonctionne majoritairement avec des bénévoles mais pour les taches de gestion, il ne lui est pas possible d'y avoir recours. Elle emploie donc trois salariés qu'elle ne peut rémunérer que s'il s'agit d'emplois aidés, vu son budget.
La suppression des emplois aidés cela veut dire la mise en cause de 2 millions de repas sur le département et sans doute plus, car les responsables voient les besoins augmenter chaque année.
La suppression des emplois aidés, pourtant des emplois précaires et mal payés, c'est la diminution des aides à la population dispensés par les collectivités locales ou par les associations. Ce gouvernement s'attaque aux plus pauvres par tous les bouts !
                                                       

"Et alors ! " dit Macron
                                                        

lundi 7 août 2017

"Politique de la Ville" et le gouvernement : "Que nous importe, on habite les beaux quartiers !"


« Politique de la Ville », qu’importe, ils n’y prennent jamais leurs quartiers !

 

Nous avons déjà évoqué les « 300 millions d’euros » de restrictions de crédits que le gouvernement s’apprête à nouveau à imposer aux communes. Elles concernent la « politique de la Ville » déjà malmenée dans un passé récent. Ces crédits permettent pourtant de mener des actions dans les quartiers populaires. Actions, via des associations ou pas, qui aident à ce que la vie de la population y soit moins difficile.
         Mais qu’est-ce que le gouvernement en a finalement à faire de ces quartiers ? Rien ! Il n’est pas là pour liquider le chômage, des jeunes en particulier, soutenir la cause des femmes, aider à l’instruction et à la culture de tous.
         Son monde n’est pas celui de ces quartiers où il ne va que pour se montrer devant les caméras et y faire de vagues discours.
         Leur société peut vivre avec des ghettos aux murs toujours plus importants. Le capitalisme les produit, et leur existence, pour fonctionner, ne lui pose pas de problème majeur. Alors que vogue la galère des miséreux, et que se réduisent les crédits pour y mettre un peu de baume au cœur.
         Mais cela juge aussi leur système.

mercredi 2 août 2017

STX Saint-Nazaire : les bluffeurs sur le pont


La nationalisation de STX : le bluff de Macron

 


Macron a annoncé qu'il nationaliserait les chantiers navals STX de Saint-Nazaire, plutôt que de les laisser à une entreprise italienne.
Mais quelle garantie peuvent avoir les 7000 salariés de STX, dont les deux tiers sont employés par des entreprises sous-traitantes, de voir leur emploi conservé ?
           Quelle que soit la nationalité de leur futur exploiteur, les travailleurs des chantiers, toutes nationalités confondues, devront se battre pour défendre leurs droits et leurs intérêts, sans s'en remettre à un charlatan comme Macron.

samedi 22 juillet 2017

Licencié indemnités dérisoires : la politique de Macron-patron


Le gouvernement encourage les patrons au licenciement abusif

 
Le gouvernement envisage de plafonner les dommages et intérêts accordés aux salariés en cas de licenciement reconnu abusif. Ils seraient d’un mois de salaire par année d’ancienneté avec un plafond de 20 mois.
Ce n’est rien d’autre qu’un quitus donné aux patrons pour qu'ils puissent licencier abusivement. Ils pourront ainsi  calculer à l’avance c  Le gouvernement arme le patronat dans sa guerre aux travailleurs. Il faut que le monde du travail réagisse collectivement en commençant par se saisir de la journée de mobilisation du 12 septembre.
 
 
Préparons le 12 septembre !
 
 

Macron, armée, pour défendre la grande muette, nombreux sont là pour l'ouvrir...


Le galonné et ceux qui l'encensent

 


La démission du chef d'Etat-Major des Armées, Pierre Le Jolis de Villers de Saintignon, a été saluée par une bonne partie de  l'éventail politicien. Saisissant là l'occasion de critiquer Macron, chacun a rivalisé de déclarations sur le "grand soldat", "l'homme d'honneur", allant jusqu'à faire du général le  champion de l'intérêt public face aux restrictions budgétaires. Comme si l'enveloppe des commandes aux industriels de l'armement était tant soit peu remise en question par Macron !

L'indignation vertueuse de ce beau monde est bien sélective : lorsqu'il s'agit des personnels  des  hôpitaux, des cheminots, des enseignants qui s'opposent aux réductions budgétaires qui aggravent les difficultés dans les services publics, ces politiciens ne leur manifestent pas la même solidarité.

 

La France insoumise… au garde-à-vous

 


"Les conséquences de l'austérité sur l'Armée sont intolérables. Le 'coup de gueule' du Général de Villiers est légitime". C’est par ces mots qu'Alexis Corbière, député de La France insoumise et porte-parole du mouvement de Jean-Luc Mélenchon a protesté contre les mesures pourtant dérisoires de baisse momentanée du budget de la Défense.

Après les drapeaux tricolores et La Marseillaise, imposés dans les cortèges mélenchonistes, c’est au son du clairon et pour défendre l’Armée française  que la mal nommée « France insoumise » se met en branle.  Au pas cadencé.

samedi 15 juillet 2017

Indemnités de licenciement.... vent et.... marchandages illusoires


Licenciements avec les remerciements du gouvernement


La ministre du travail a annoncé que les indemnités légales de licenciements seraient augmentées à la rentrée. De combien ? Mystère. Cette annonce est destinée à faire accepter aux syndicats qui se prêtent aux fausses « négociations » estivales, la charrette de mesures qui vont permettre aux patrons de licencier sans craindre la loi. Le gouvernement veut en particulier réduire fortement le recours au tribunal des Prud'hommes et plafonner les dommages et intérêts en cas de licenciement abusif.
         Les travailleurs n'ont aucune raison de se sentir engagés par les parlottes des dirigeants syndicaux avec les ministres. Ils doivent faire confiance à leur force collective, pour imposer l'interdiction des licenciements.

vendredi 14 juillet 2017

ISF : Macron, monsieur Macron-Patrons


ISF : Macron tient ses promesses aux riches


Après quelques hésitations, Macron s'est engagé à mettre en route la réforme de l'impôt sur la fortune promise aux riches dès 2018. Il s'agirait de sortir du calcul de l'ISF toutes les « valeurs mobilières » : actions, obligations, assurances-vie... pour ne taxer que les valeurs immobilières.
         Résultat : un manque à gagner pour les finances publiques entre 2 et 3 milliards et un cadeau du même montant pour les plus riches !
         Et pendant ce temps, le gouvernement dépouille les travailleurs des rares droits qui leur restent, à coups d'ordonnances. Il bloque le point d'indice des fonctionnaires et rétablit le jour de carence pour les arrêts maladie... De quoi voir rouge !

mercredi 5 juillet 2017

Macron, diversion pour faire oublier le Macron-patrons


Macron et les institutions : un hochet en forme de diversion

 


En fanfare et trompettes, Macron a réuni hier les députés et les sénateurs en congrès à Versailles pour annoncer, entre autres, la diminution du nombre de députés et de sénateurs et l’introduction dans le scrutin législatif d’une petite « dose » de proportionnelle. En s’en prenant aux élus, Macron entend soigner sa popularité à peu de frais, misant sur l’impopularité générale de ces prétendus représentants du peuple, dont par ailleurs il fait partie.
         Mais comme tout doit être ratifié par un référendum dans un an, Macron entend agiter durant tout ce temps le bocal médiatique avec ces réformes institutionnelles, en les utilisant pour faire oublier les mesures anti-ouvrières déjà annoncées. Mais en descendant dans la rue, à commencer le 12 septembre prochain, les travailleurs sauront faire entende leurs exigences !