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samedi 11 mai 2024

Lutte de classe en Argentine : une grève réussie.

L’ « attentat » des bourgeois et de leurs valets contre la condition des pauvres !

 

Crédit photo : Midia NINJA

Une tête de l'emploi

Jeudi 9 mai, les travailleurs ont répondu nombreux à l’appel à la grève lancé par les trois plus grands syndicats, dans les transports, les services publics et les commerces. C’est une réaction à la politique du gouvernement Milei, qui appelle « ajustement » les 15 000 icenciements auxquels il vient de procéder dans le secteur public, et qui taille à la hache – ou plutôt à la tronçonneuse – dans les droits de tous les travailleurs.

         Les porte-parole du gouvernement ont beau dénigrer le mouvement en parlant de la grève comme d’un « attentat » contre la liberté des pauvres d’aller gagner leur pain, la classe ouvrière argentine relève la tête. Et elle n’a pas dit son dernier mot !

lundi 8 avril 2024

« Grandes familles » de la bourgeoisie : elles se portent très très bien. Portrait.

 

Parasitisme sans fard

 

Chic bourgeois
 

Selon le magazine Forbes, les petits-enfants du fondateur du groupe Yves Rocher ont intégré le cercle mondial des milliardaires, au 1380ème rang de ces riches parasites qui doivent leur fortune au travail de milliers de travailleurs. 

         Quant aux salariés de ce groupe, ils ont récemment fait grève lors des réunions sur les salaires, la direction annonçant 0 % d’augmentation pour l’année 2024. En 2023, c’est un plan social de plusieurs centaines de suppressions d’emplois que la direction avait imposé pour soi-disant sauver le groupe prétendument en mauvaise posture financière. 

         On voit aujourd’hui ce qu’il en est : des travailleurs

mercredi 20 mars 2024

Droits au congé : une décision enfin prise mais bien limitée

De loyaux serviteurs

 

 

Une directive européenne datant de 2003 impose que les salariés puissent acquérir des droits aux congés lorsqu’ils sont en arrêt maladie. C’est la moindre des choses, mais l’État français ne s’est pas pressé, puisque le gouvernement n’a prévu de l’appliquer qu’aujourd’hui. Et encore, ces congés seront limités à quatre semaines, et la directive ne sera pas mise en œuvre de manière rétroactive au-delà de trois ans, alors qu’elle est censée être appliquée depuis 2009.

         Le grand patronat n’a pas à se plaindre du gouvernement : il fait tout pour éviter d’écorner son magot.