Surveillance de masse : sous les paillettes « démocratiques », une réalité bien différente
Le dictateur égyptien
Trois entreprises françaises,
Dassault System, Nexa Technologies et Ercom Suneris, ont vendu des outils de
surveillance numérique massive à l’État égyptien, qui lui ont certainement
servi à arrêter 60 000 prisonniers politiques depuis l’arrivée d’Al
Sissi au pouvoir en 2013. Le ministre de l’Économie de l’époque, Emmanuel
Macron, avait validé ces ventes en toute connaissance de cause.
Il y a les envolées lyriques sur les droits de l’homme et les libertés, et puis il y a l’industrie de l’armement française et les profits de Dassault…