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mercredi 21 juin 2023

Médicaments : haro sur les remboursements

Le mépris du bourgeois et d’un petit larbin

 

 

Le ministre des Finances vient d’avancer une idée pour faire les poches des classes populaires : augmenter les franchises non remboursées par la Sécu sur les médicaments, qui passeraient de 50 centimes à un euro par boîte.

         Il a le culot d’ajouter que la « gratuité » des médicaments « déresponsabilise » les patients. Une affirmation aussi mensongère qu’odieuse puisque les médicaments ne sont pas gratuits, mais payés par les cotisations des salariés à la Sécu.

         Si les médicaments coûtent cher, peut être pourrait-il chercher la responsabilisation du côté des riches laboratoires pharmaceutiques qui fixent les prix…

 

Les prochaines permanences prévues :

-mercredi 21 juin, de 11 h.30 à midi au marché des Champioux.

 

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           -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac du Val-Nord (le journal seulement) et à la librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri (On y trouve 

vendredi 16 juin 2023

Médicaments : profits garantis à l’industrie pharmaceutique

Macron soigne l’industrie pharmaceutique qui se goinfre

 


Face aux ruptures de stocks d’un nombre croissant de médicaments, Macron vient d’annoncer un plan de sécurisation d’approvisionnement d’une liste de 450 médicaments essentiels.

     Il s’agit en réalité d’octroyer des subventions aux industriels qui relanceront la production dans le pays. Ces derniers en profitent pour réclamer aussi une augmentation du prix des médicaments car ils se moquent des besoins et raisonnent selon les bénéfices potentiels.

     En plus de la transparence des stocks de médicaments, c’est aussi celle des comptes de ces grands groupes qu’il faut mettre au grand jour.

 

dimanche 19 février 2023

L’industrie pharmaceutique et ses plumitifs qui aimeraient tant que les lanceuses et lanceurs d’alerte se taisent

L’argent face au courage

 

 

Une revue professionnelle qui revendique « 2300 abonnés dans 95 laboratoires pharmaceutiques et 50 partenaires de l'industrie du médicament » a titré le 13 février « maintenant taisez-vous Madame ! ». Cette revue cible Irène Frachon, la pneumologue qui a révélé la toxicité du Mediator et obtenu son interdiction après un long combat. Ce médicament a été produit pendant des années par le laboratoire Servier, qui connaissait pourtant pertinemment ses effets secondaires et ses dangers mais ne jurait que par les résultats financiers.

         Douze ans après l'interdiction du Mediator, pendant le procès en appel de ce scandale sanitaire, la grande industrie pharmaceutique veut toujours imposer la loi du silence à ceux qui combattent sa rapacité mortifère.