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mardi 18 janvier 2022

BlackRock : un fonds emblématique de la richesse de la bourgeoisie

 

Et pourtant, de l’argent il y en a, dans les coffres du patronat

 


 

Le premier gestionnaire d'actifs mondial BlackRock a collecté 540 milliards l’année dernière. Le total des fonds qu’il a en gestion se monte dorénavant à plus de 10 000 milliards, un record. Il n’est pas le seul. Vanguard son rival en est à 8 000 milliards.

Ces records sont en réalité ceux des fortunes de la bourgeoisie, qui les confie à BlackRock et ses semblables pour qu’ils se chargent de les faire fructifier à sa place.

Les bourgeois : toujours plus riches et toujours plus parasites.

vendredi 1 janvier 2021

Finance, bourse, le capitalisme craque mais… une bonne année pour la finance

 

Vers le précipice… ou la Révolution !

Les banques centrales, américaines, européennes, japonaises et britanniques, ont injecté, cette année, 6500 milliards de dollars dans les circuits financiers. Elles ont racheté à tour de bras les titres financiers dont les banques privées et les grandes entreprises ne voulaient plus, y compris des junk bonds, dits titres pourris parce qu’ils sont considérés, comme très risqués, Cette montagne d'argent n'a protégé en rien les travailleurs, victimes en masse de plan de licenciements, des baisse des salaires, de l'explosion de la pauvreté, pas plus que de nombreux petits patrons poussés vers la faillite. Ces milliards ne se sont pas évaporés, ils ont permis aux bourses de New York, de Paris, et d'autres, de compenser leurs pertes du début d'année.

Cette course folle conduit l'Humanité à la catastrophe... à moins que la révolution n'y mette un terme.

samedi 16 mars 2019

Dettes des entreprises françaises : un record


Des dettes menaçantes




La dette des entreprises françaises a atteint un record en 2018 pour atteindre 4 000 milliards d’euros, soit 175 % du Pib. Les grandes entreprises ont profité des taux d’intérêts très bas pour emprunter des sommes colossales, en particulier pour financer l’acquisition de concurrents. Sanofi par exemple, a vu son endettement grimper à 25 milliards d’euros après avoir réalisé 13 milliards d’acquisitions.
Pendant qu’elles se livrent à ces opérations financières, les dirigeants de ces multinationales ne cessent de supprimer des milliers d’emplois et d’aggraver ainsi le chômage et la pauvreté. En plus, en transformant l’économie en un casino où s’échangent des sommes de plus en plus en plus folles, les capitalistes risquent de provoquer une crise encore plus grave qu’en 2008. Mais ces requins s’en moquent : leurs profits d’abord !