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vendredi 30 juin 2023

Assurance maladie : saignée dans les emplois

Alors que de nombreux emplois manquent déjà

 

 

La Sécu prévoit 1 700 suppressions de postes d’ici à 2027, soit 2 % de l’effectif total de l’Assurance maladie. La direction se veut rassurante : les départs seraient très progressifs, compensés par des gains de productivité dus à l’informatisation d’une partie du travail.

         Sous couvert de modernisation, il s’agit d’augmenter la charge de travail des salariés qui restent. Les employés de l’Assurance maladie dénoncent déjà le sous-effectif qui les empêche de traiter correctement les dossiers des malades.

         Plus d’informatique, bien sûr. Mais en gardant tous les emplois, ce serait un minimum.

 

dimanche 14 novembre 2021

Santé mentale : le scandale des sous-effectifs à l’hôpital

 

Cholet (Maine et Loire) : contre les fermetures de lits en Psychiatrie

 


 

Mardi 9 novembre, les salariés du secteur de psychiatrie du Centre Hospitalier ont manifesté contre la fermeture de 47 lits, soit trois services, d’ici à janvier 2022. La direction invoque l’imposssibilité de trouver assez de médecins, après le départ de trois d’entre eux. Le personnel soignant sera déplacé vers d’autres services de l’hôpital. Les patients, eux, seront orientés vers Angers ou Nantes, ce qui rendra plus difficiles les visites pour leurs familles.

Depuis l’annonce de la décision, les salariés ont reçu de nombreux soutiens, dont plus de 7500 ont signé une pétition. Et la manifestation a rassemblé plus de 300 personnes depuis l’hôpital jusqu’au centre-ville.

jeudi 4 novembre 2021

Jeunes sans ressources : la baudruche Macron se dégonfle

 

Les jeunes ne veulent pas être assistés

 

 


Macron promettait depuis des mois un revenu minimum aux jeunes sans emploi, ni formation, ni ressource, qui sont plus d'un million dans le pays. Il vient d'annoncer la création du contrat d'engagement pour les jeunes de moins de 26 ans au 1er mars 2022.

Avec une longue liste de conditions dont celle d'accepter n'importe quelle activité, ce sont finalement 400 000 jeunes qui pourront prétendre toucher « jusqu'à 500 euros » par mois. Macron, qui consacre le budget de l'État à assister les capitalistes, ne veut pas être accusé d'encourager « l'assistanat des jeunes ».

Ça tombe bien, les jeunes ne veulent pas être assistés. Ils veulent un avenir... que leur refuse Macron et le capitalisme qu'il défend.