Affichage des articles dont le libellé est commerce mondial. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est commerce mondial. Afficher tous les articles

vendredi 10 mai 2024

France-Chine : tapis rouge pour le patronat

Grande amitié… commerciale

 

 

À l’occasion de la visite en France du président chinois Xi Jinping, Macron a joué son rôle de VRP de la bourgeoisie en organisant une soirée à l’Élysée avec des grands patrons comme Bernard Arnault (LVMH) ou Carlos Tavares (PDG de Stellantis).

          Cognac contre voitures électriques, on ne connaît pas encore le détail des échanges. Mais derrière le décorum et les proclamations peu ragoûtantes d’amitié entre un impérialisme français déclinant et une dictature chinoise aux dents longues, le véritable enjeu concernait les contrats commerciaux et les profits escomptés pour les actionnaires des grands groupes représentés.

 

dimanche 14 janvier 2024

Mer Rouge : les puissances impérialistes montrent leurs muscles

 

L’impérialisme voit rouge quand il s’agit de ses profits

 


Les armées américaine et britannique ont bombardé des bases houthistes au Yémen, en représailles contre les attaques visant des navires de commerce en mer Rouge. Il y passe 12 % du commerce mondial et l'essentiel des échanges entre l'Asie et l'Europe,

         L'impérialisme américain, qui ne bouge pas le petit doigt contre le massacre de dizaines de milliers de Palestiniens à Gaza par l'armée israélienne, tient en revanche à protéger une artère économique vitale pour les capitalistes occidentaux et les profits qui vont avec.

jeudi 4 janvier 2024

Mer Rouge : escalade guerrière

Un élément du risque d’embrasement

 

 

Fin décembre, en mer Rouge, la marine américaine a détruit trois bateaux de miliciens houthis, qui attaquaient un porte-conteneurs danois. Depuis le début de la guerre à Gaza, ce mouvement yéménite soutenu par l'Iran prétend manifester sa solidarité avec les Palestiniens en s'attaquant aux navires commerciaux qui transitent par le canal de Suez.

En réponse, les États-Unis ont mis en place une coalition internationale pour protéger le trafic maritime. Au risque d'embraser toute la région, ils montrent ainsi ce qu'il en coûte de s'attaquer aux intérêts occidentaux et à son allié israélien qui, lui, peut continuer à dévaster Gaza en toute impunité.