La trace… des profits
Le groupe Carrefour, leader de la distribution alimentaire au Brésil, a acheté de la viande, via un fournisseur, à l’entreprise Heller, déboiseur décrit par la police comme « le plus grand destructeur du biome amazonien jamais enquêté ».
Cet achat de bétail est certes passé par des intermédiaires. Mais Carrefour prétend tracer les provenances… Contrairement à ses discours « verts », ses profits n'ont pour lui ni couleur ni odeur.
C’est l’État a décidé et qui mena l'affaire
Le 2.9.1968, le gouvernement d’alors dirigé par Pompidou sous la présidence d’un certain De Gaulle, référence lointaine du encore maire d’Argenteuil, prenait un arrêté « d’utilité publique » engageant la construction de la RN 311 sur les berges de « L’île » Héloïse.
En tant que Soixante-huitard pas si attardé, je me penche actuellement sur cette décision fâcheuse suite aux déclarations peu amènes du maire d’Argenteuil lors du dernier conseil municipal.
Il doit le reconnaître. C’est l’État qui était à la manœuvre et non la municipalité d’Argenteuil d’alors.
Ensuite, quelle attitude a été celle de la municipalité d’Argenteuil de l’époque menée par le PCF ?
Sur toutes ces questions, l’hebdomadaire La Renaissance du Val d’Oise de ces années- là est d’un grand intérêt, même si lors du dépouillement que j’ai commencé à effectuer de l’hebdomadaire, je n’ai pas trouvé grand-chose sur l'attitude de cette municipalité…
… sauf une brève du numéro du 24 juin 1967 du journal du PCF qui ne fera pas plaisir au maire d’Argenteuil qui s’est donc avancé malencontreusement quelque peu. Cette brève, on la croirait écrite par le Comité Jean Vilar d’aujourd’hui ! DM
Un clin d’œil à mes amis d’Argenteuil du Comité Jean Vilar
