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lundi 22 janvier 2024

Loi Immigration : non à la division entre travailleurs

 

Honteux

 

 

Le collectif « Nos services publics » estime que l’application de la loi Immigration ferait tomber 110 000 personnes, dont 30 000 enfants, dans la grande pauvreté.

         Il prend ainsi l’exemple de deux voisines, aides-soignantes à mi-temps et mères célibataires d’un enfant d’un an, toutes deux avec deux ans d’ancienneté et donc de cotisations sociales. Celle qui n’a pas la nationalité devrait se débrouiller avec 651 euros de salaire ; alors que celle qui toucherait en plus les prestations sociales disposerait de 1621 euros, un revenu déjà insuffisant pour vivre correctement qui oblige à compter chaque euro dépensé.

         Les manifestations qui ont été organisées dimanche 21 janvier ont permis d’exprimer le refus des discriminations entre travailleurs.

 

-Aujourd’hui lundi 22 janvier : de 18 à 19 heures, centre cl des Raguenets à Saint-Gratien ;

-Mardi 23 janvier, de 18 à 19 heures, centre cl de la cité Joliot-Curie ;

-Mercredi 24 janvier : de 11 h.30 à midi, marché des Champioux.

 

 

Toutes les semaines, l’hebdomadaire Lutte ouvrière est aussi en vente à la librairie Le Presse-papier et au Tabac-Presse du mail de la Terrasse du quartier du Val-Nord que nous remercions.

 

 

N’oubliez pas maintenant de réserver votre billet d’entrée pour notre banquet local qui aura lieu en journée le dimanche 24 mars prochain. Parlez-en autour de vous. Le prix du repas est désormais fixé. Comme l’an dernier, 17 euros pour les adultes, 8 pour les enfants jusqu’à 14 ans.

 

mardi 16 janvier 2024

Misère étudiante, misère populaire

« Qui sème la misère, récolte la colère »

 

 

Un syndicat étudiant lance de nouveau l'alerte sur les conditions de vie des étudiants. Près d'un sur cinq ne mange pas à sa faim. Les étudiants boursiers, qui bénéficient d'un repas à un euro dans les restaurants universitaires, sautent plusieurs repas par semaine. Les étudiants non-boursiers paient leur repas 3,30 euros et 16 % ne pas mangent à leur faim.

         La précarité de la vie étudiante n'est pas nouvelle mais elle s'aggrave avec l'inflation. « Qui sème la misère, récolte la colère » : ce vieux slogan des manifestations étudiantes est de plus en plus à l'ordre du jour !