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samedi 18 mai 2024

Argenteuil, chantiers, piétons en danger

Du côté de la municipalité, cela n’émeut personne ?

 

 


Le carrefour « Monoprix » est déjà un carrefour dangereux pour les piétons en particulier, avec un système de feux qui l’est déjà particulièrement pour traverser le boulevard Jean Allemane devant le magasin face à la petite rue qui monte vers la Colonie. Mais cela s’est encore dégradé avec la construction de l’immeuble de cinq étages qui est menée dare-dare pour raccourcir le plus possible les délais.

         Les piétons doivent faire attention, les jours de pluie en particulier. Et doublement attention à ce que quelque chose ne tombe pas du ciel. Quant au passage de « protection », ce n’est pas la tôle qui les protégera.

         Un passant qui travaille dans le BTP m’a indiqué que naguère, avant tout début de la construction, il y avait une visite de sécurité, qui apparemment n’est plus obligatoire… Mais des membres de la majorité municipale, à pied ou en voiture, doivent bien passer par là. Cela ne les inquiète pas ? DM

 

dimanche 12 mai 2024

Surcoût des grands travaux : EPR : toujours plus cher

Supers grues pour les profits

 

 

Avec 12 ans de retard, l’autorité de sûreté nucléaire vient de donner son autorisation au démarrage du réacteur nucléaire à eau pressurisée (EPR) de Flamanville. Le coût initial a été multiplié par quatre : il dépasse les 13 milliards d'euros.

         Côté sûreté et utilité, le doute reste permis. Mais il y a une certitude : cette construction aura permis aux géants du BTP d’encaisser des profits faramineux.

 

samedi 13 avril 2024

Immobilier : ils bétonnent leurs profits

 

Ils défendent leurs profits bec et ongle

 

 

Bouygues Immobilier a annoncé vouloir supprimer 20 % de ses effectifs, soit 225 emplois, pour sa « nécessaire adaptation au potentiel de son marché », dit-elle.

         Avec les suppressions de postes planifiées par centaines chez Vinci ainsi que chez Nexity, ce sont encore les salariés que ces groupes de l’immobilier, riches à milliards, sacrifient pour éviter de payer la facture de la crise des ventes de logements neufs.

         Ce ne sont pourtant pas les besoins qui manquent !