lundi 31 mai 2021

Pinault et son musée : Envie de lui rentrer dans le « l’Art »

 

Mécène avec la sueur des travailleurs

 


François Pinault, l’ancien patron de la Redoute, a inauguré à Paris son nouveau musée, dans l’ancienne Bourse du commerce, temple désaffecté du capitalisme, qu’il a obtenu grâce à l’aide d’Anne Hidalgo, maire « socialiste » de Paris.

Il a été subventionné par l’État… de Macron. Tout ça, à deux pas de l’appartement qu’il avait prêté aux Chirac… Trentième fortune du monde, il a les politiques à ses pieds et les médias le font passer pour un généreux mécène.

Mais les travailleurs de la Redoute savent comment le prédateur Pinault a constitué sa fortune : sur leur dos et sur celui des tous les travailleurs de son groupe Kering.

Ainsi, à la Redoute qu’il a siphonnée par ses manœuvres financières, l’effectif est passé de près de 7 000 à… 1 400 salariés. Lors du dernier plan de licenciement en 2014, c’est la mobilisation des travailleurs qui l’a forcé à verser les 500 millions qui ont permis qu’ils ne soient pas sur le carreau.

La seule œuvre d’art contemporain que parait-il, il n’appréciait pas du tout, c’était son portrait sur fond de flammes, le « diable » avec deux belles petites cornes, qui était brandi dans toutes les manifestions !

dimanche 30 mai 2021

Génocide au Rwanda : Macron ment par omission

 


En visite au Rwanda, au mémorial du génocide contre les Tutsi qui a fait plus de 800 000 morts il y a vingt-sept ans, Macron a déclaré que la France n’était pas complice mais a reconnu sa « responsabilité accablante dans un engrenage qui a abouti au pire ». C’est jouer sur les mots.

Les témoignages d’anciens militaires et l’ouverture des archives montrent que c’est bien l’État français qui a choisi d’armer et d’entraîner les milices génocidaires. Le président de l’époque, le « socialiste » Mitterrand, et son gouvernement étaient parfaitement au courant qu’ils leur donnaient les moyens de perpétrer un massacre. Puis la France a permis aux dirigeants génocidaires de s’enfuir et pour certains de couler des jours heureux en France.

C’est cela la politique sanglante de l’impérialisme français en Afrique.

 

 

 

 

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Attention : mes 5 articles du jour apparaissent parfois sur deux pages voire sur trois pages. Pour lire les 5 articles, cliquez en bas de la première page sur « articles plus anciens). DM

La commune de Paris, Lutte ouvrière au Mur des fédérés

 


Lutte ouvrière au Mur des fédérés

Chaque année, à la fin mai, le Mur des fédérés du haut du cimetière du Père-Lachaise, où sont tombés les derniers communards, voit la commémoration de la Semaine sanglante de 1871.

Encore plus cette année, pour le 150e anniversaire de la Commune, Lutte ouvrière tient à honorer ce qui fut la première expérience de pouvoir ouvrier.

Elle donne rendez-vous pour cela :

Ce dimanche 30 mai à 11 heures, à l’entrée du Père-Lachaise, 58, rue des Rondeaux, Paris 20e, métro Gambetta.

On compte sur vous !