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dimanche 18 février 2024

Argenteuil, une exposition sur le sport, à voir à Argenteuil

Le sport, ce n’est pas seulement l’ « olympisme »

 

 

Une exposition a lieu jusqu’en avril sur le sport dans le cadre de l’année olympique. Peu d’objets, mais bien sélectionnés, avec la collaboration des collections du musée de Colombes qui accueillit comme chacun sait les jeux olympiques de 1924.

         Dans cette exposition sont à la fois évoqués ces jeux de 1924, mais également l’histoire locale du sport, de la création de la Saint-Georges il y a plus d’un siècle jusqu’aux activités sportives locales plus contemporaines.

         On y croise le combat des femmes pour l’égalité de l’engagement dans le sport, le court parcours de Rino Della Negra, et la solidarité qui peut jaillir de l’activité des clubs.

         C’est court, mais c’est propice à bien des réflexions. DM

 

samedi 10 février 2024

JO : ils valent déjà vraiment de l’or… pour certains en tout cas

 

Gagner la médaille d’or avant est tout de même plus sûr

 


Le président du Comité d'organisation des Jeux Olympiques (COJO) de Paris, Tony Estanguet, et les 270 000 euros de rémunération brute par an qu'il perçoit depuis 2018, sont la cible d'une enquête de justice.

         Les JO n'ont pas commencé qu'un marathon judiciaire est déjà lancé : d'autres enquêtes judiciaires sont ouvertes visant des soupçons de favoritisme et de détournements de fonds publics pour l'attribution de marché. Tout l'état-major du COJO est soupçonné d'avoir pris des libertés avec les lois.

         Aux JO, l'important c'est de participer… au partage du butin !

jeudi 4 janvier 2024

JO : là aussi, la force des travailleurs c’est la grève !

 

Pas très regardant le Bernard

 

 

Pour les JO, les organisateurs, les représentants patronaux et syndicaux, ont signé une charte censée garantir les droits des travailleurs durant leur préparation et leur déroulement. Bernard Thibault, ancien secrétaire général de la CGT, censé veiller à l'application de cette charte, a déclaré dans une interview : « les JO ne sont pas incompatibles avec les droits sociaux ».

Ah bon ? Et les « sans papiers » dont l'emploi est généralisé sur tous les chantiers des JO ? Si certains ont pu être régularisés, ce n'est pas grâce à la charte ni à cet ancien grand ponte syndical, mais bien grâce à leur mobilisation.