jeudi 30 janvier 2020

Argenteuil, mandat municipal 2014-2020. Archives. l'affaire des "rythmes scolaires"


La réforme dite des « rythmes scolaires » initiée par le gouvernement après 2012 a eu le résultat contraire à celui escompté. Loin d’améliorer la vie de l’enfant-élève, elle a mis en place une gigantesque « usine à gaz » qui a perturbé le fonctionnement des communes, et avant tout la vie des parents. Et cela, finalement pour rien.


Complètement raté !

"Rythmes scolaires" : le feuilleton continue

Le 7 mai 2014 

Vous avez dit, l’enfant au centre des préoccupations ?

Le maire d’Argenteuil a confirmé qu’il n’appliquerait pas la réforme des « rythmes scolaires » à la rentrée prochaine et que les élèves continueront à aller à l’école quatre jours par semaine : six heures de classe et deux heures d’« aide ».
         C’est sa façon de sortir d’un bien mauvais pas, même si on attend la suite et la réaction de l’Education nationale.
         Quant à l’intérêt des enfants et des familles, il est bien loin. Et il faut tout de même se souvenir que, loin de cet intérêt des enfants, c’est pour faire un geste en faveur de l’électorat de son camp que l’UMP Darcos avait supprimé l’école le samedi matin qui avait pourtant bien son utilité comme moment d’apaisement et de contact privilégié avec les parents. Cette mesure avait engagé une désorganisation de l’école primaire.
A l’époque, Darcos était soutenu par un certain… G. Mothron, alors député de son état. 


Rythmes scolaires : l'aide aux communes prolongée d'un an... Et après ?


Le tout nouveau ministre de l’Éducation nationale, Benoît Hamon, a annoncé que le fonds d’aide aux communes pour appliquer la réforme des rythmes scolaires sera reconduit pendant une année, en 2015-2016.
     Les communes qui appliqueront la réforme l’an prochain seront confrontées à une dépense estimée à 150 € par enfant. Le fonds mis en place par le gouvernement se traduit par une aide pour une majorité de communes de 50 euros par enfant et par an... Donc le compte n’y est pas…
Et après 2016, c’est l’inconnu.

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