vendredi 10 mars 2017

Fillon, médias, et un des ses groupis argenteuillais


Les grands mots qu’il ne maîtrise pas

 
A propos de son chef Fillon, le fillonniste local X. Péricat parle dans la presse de « lynchage médiatique ».
         Une expression bien exagérée pour un petit désagrément que son mentor, sûr de lui et considérant qu’il pouvait se permettre bien des choses, a totalement cherché.
         Quant aux médias, voir la brève suivante.
         Puisqu’il parle de « lynchage, nous lui conseillons la lecture d’un livre policier, portant sur le Sud des Etats-Unis dans les années 1930, « la bête qui sommeille » de Don Tracy. Il saura ce que le mot « lynchage » veut dire.
         Cela ferait peut-être perdre au « premier-adjoint au maire » d’Argenteuil l’habitude d’utiliser des mots à tort et à travers.
         Mais sur le fonds, que pense cet adjoint aux finances des emplois fictifs payés par la population ? 

Quant aux médias et Fillon, parlons-en ! 

"Équité" ? Tu parles !

 


Les chiffres du conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) sur les temps d'antenne dont a bénéficié chaque candidat à la présidentielle entre les 1er et 26 février sont sortis. Ils sont éloquents. Le CSA souligne que Fillon a eu bien plus la parole (265 heures, presque 16 000 minutes) que les autres. Le deuxième du classement est Macron avec 163 heures.

         Mais la suite du tableau est encore plus éloquente, Mélenchon a bénéficié de 3163 minutes, Nathalie Arthaud de... 67 minutes (230 fois moins que Fillon, 150 fois moins que Macron et même 47 fois moins que Mélenchon).

         On voit qui les patrons des médias ne souhaitent pas entendre !

         Et X. Péricat parlera après de « lynchage médiatique » !

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