mercredi 3 août 2016

Emprunts toxiques, délégations de service public, manoeuvres et manigances que la population paye ensuite cash. A étudier de près.


Emprunts toxiques, délégations de service public, des questions à réfléchir

 

Chers lecteurs,

Nous vous l’avouons nous sommes en congé, mais ne soyez ni jaloux ni tristes, ce blog ne l’est pas. Il n’est pas en congé, lui, puisque vous nous lisez aujourd’hui comme vous pourrez le faire demain et les jours suivants. Donc nous comptons sur vos informations et vos commentaires.

         Nous vous avions promis il y a quelque temps que nous réfléchirions sur deux sujets qui pour les habitants d’Argenteuil et les travailleurs communaux ont eu des conséquences négatives importantes ces dernières années : le poids sur les finances locales de ce qui a été appelé « emprunts toxiques » et la question de la délégation des services publics, en particulier celle des parkings et du stationnement qui, sur la Ville se traduit par l’obligation pour celle-ci de devoir payer à la méga-entreprise SPIE treize millions d’euros pour rupture de contrat puisque cette gestion est aujourd’hui dans les mains d’Indigo-Vinci.

         La question est simple : comment peut-on arriver à ce genre de situation ?

         Ce n’est pas un roman extraordinaire pour l’été, même si les conséquences en sont, elles, bien extraordinaires pour la population. N’attendez pas des révélations exceptionnelles, mais nous nous étions engagés à réfléchir à ces questions, ce que nous allons tenter de faire.

         A demain. DM

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