jeudi 2 mai 2013

Algérie : une conférence de Lutte Ouvrière à Argenteuil demain vendredi à 20 heures 15


vendredi 3 mai

20 heures 15

Espace Mandéla

82 bd Leclerc


« De L’Indépendance à la dictature contre les classes populaires »

L’an dernier, L’Algérie fêtait le 50ème anniversaire de son indépendance. Pour obtenir cette indépendance politique et cette dignité retrouvée dont elles étaient privées depuis 132 ans, les masses populaires algériennes l’avaient chèrement payé. Au sortir de 7 ans et demi d’une guerre atroce, elles nourrissaient l’espoir d’un monde meilleur.
     Il n’en fut rien. L’émancipation fut nationale mais pas sociale. L’exploitation de l’homme par l’homme continua. Les dirigeants nationalistes du FLN mirent en place un régime à leur bénéfice et au service des privilégiés.
     En octobre 1988, ce fut l’explosion populaire. Mais ce furent les islamistes, seule force d’opposition véritablement organisée, qui profitèrent alors de la libéralisation relative concédée. Cette situation déboucha sur la « décennie noire » et ses 200 000 morts.
     Dans l’Algérie d’aujourd’hui durement frappée par la crise, il y a une classe ouvrière importante, jeune, dynamique, sans tradition politique, mais qui lutte pour ses conditions de travail et de vie.

      C’est de toutes ces questions que nous vous invitons à venir débattre.

mercredi 1 mai 2013

Aujourd'hui 1er mai


À Paris la manifestation est prévue à 15 h, de la place de la Bastille en direction de Nation. Le point de rassemblement Lutte ouvrière est au Métro Ledru Rollin.


Les militants de Lutte Ouvrière d'Argenteuil se retrouveront à 13 heures 45 devant le café des "Deux gares", sortie Orgemont de la gare d'Argenteuil-centre, pour partir ensemble à la manifestation de Paris pour rejoindre le rendez-vous de LUTTE OUVRIERE à la station de métro Ledru-Rollin (ligne Balard-Créteil).


Nathalie Arthaud dans les médias cette semaine


jeudi 2 mai


vendredi 3 mai


Attention : les horaires des émissions peuvent être modifiés indépendamment de notre volonté



Conférence de Lutte Ouvrière à Argenteuil



vendredi 3 mai

20 heures 15

Espace Mandéla

82 bd Leclerc


« De L’Indépendance à la dictature contre les classes populaires »



L’an dernier, L’Algérie fêtait le 50ème anniversaire de son indépendance. Pour obtenir cette indépendance politique et cette dignité retrouvée dont elles étaient privées depuis 132 ans, les masses populaires algériennes l’avaient chèrement payé. Au sortir de 7 ans et demi d’une guerre atroce, elles nourrissaient l’espoir d’un monde meilleur.

     Il n’en fut rien. L’émancipation fut nationale mais pas sociale. L’exploitation de l’homme par l’homme continua. Les dirigeants nationalistes du FLN mirent en place un régime à leur bénéfice et au service des privilégiés.

     En octobre 1988, ce fut l’explosion populaire. Mais ce furent les islamistes, seule force d’opposition véritablement organisée, qui profitèrent alors de la libéralisation relative concédée. Cette situation déboucha sur la « décennie noire » et ses 200 000 morts.

     Dans l’Algérie d’aujourd’hui durement frappée par la crise, il y a une classe ouvrière importante, jeune, dynamique, sans tradition politique, mais qui lutte pour ses conditions de travail et de vie.



      C’est de toutes ces questions que nous vous invitons à venir débattre.


Hollande et le patronat : un communiqué de Nathalie Arthaud

Les travailleurs sont plongés dans le chômage et la misère, mais Hollande chérit les patrons
 
Les représentants des entrepreneurs qui s’étaient baptisés les « pigeons » ont été ravis par les annonces que Hollande a faites lundi. L’un d’eux a déclaré : « Plus qu’une déclaration d’amour, ce sont des preuves d’amour que Hollande nous a données aujourd’hui » !
     Eh bien, pour une fois, c’est une parole de patron qu’il faut croire ! Les preuves d’amour sont, en effet, en espèces sonnantes et trébuchantes avec l’allègement et la simplification de la taxation des plus-values de cession d’entreprise. Oui, les patrons peuvent dire merci à Hollande pour ce nouveau cadeau !
     Cadeau qui s’ajoute aux 20 milliards annuels de crédits d’impôt inscrits au « pacte de compétitivité  », et à l’accord sur l’emploi qui légalise le chantage à l’augmentation du temps de travail, au blocage des salaires et à la mobilité forcée.
     Sarkozy était le président des riches. Hollande est en passe de devenir le président des patrons. Il a perdu tout crédit dans les classes populaire et bat des records d’impopularité : il ne récolte que ce qu’il a semé !
                                                       Nathalie Arthaud, le 30.04.12.

 

« Loi Florange » : un symbole

Pendant la campagne des élections présidentielles, Hollande s’était engagé à faire une loi pour contraindre les grands groupes à revendre les usines qu’ils fermaient à d’éventuels repreneurs. Les députés du PS en présentent une mouture à la veille du 1er mai.
     Cette loi - si elle est adoptée - sera dérisoire puisqu’elle stipule qu’ un groupe souhaitant fermer une entreprise devra « rechercher un repreneur pendant trois mois » sans obligation de résultat. Et de Pétroplus à Arkema, l’actualité montre que la revente d’une usine à un repreneur est trop souvent un moyen de sous-traiter sa liquidation.
     Mais surtout : qu’a fait le gouvernement pour empêcher Mittal de liquider l’usine de Florange, ou la famille Peugeot de fermer l’usine PSA d’Aulnay ? Rien. Rien ou cette loi, c’est du pareil au même !

"The Phone house" : pour les salariés, pas besoin de SMS, la solidarité de tous

Les propriétaires de l'enseigne "Phone house" veulent se débarrasser de leur réseau de boutiques dans le pays courant 2014. Ils déclarent vouloir "céder une part importante des boutiques avec les fonds de commerce et de garantir l'emploi des vendeurs."
       Comment si cette garantie de l'emploi des travailleurs était, de leur part, une préoccupation sérieuse ? Comme si cet air-là n'était pas mille fois entendu de la part du patronat ?
       La seule garantie pour les travailleurs sera leur volonté de défendre leur emploi et leurs intérêts.
       Il y a une boutique "The Phone house" dans le centre commercial Côté Seine. Il y a des salariés dont l'avenir peut devenir sombre.
       Il ont droit à toute notre solidarité.

Derrière la devanture, des travailleurs dont l'emploi est en danger