jeudi 1 juin 2017

Argenteuil, projet "Jean Vilar" : une information bien inquiétante


Une information très inquiétante

Il semblerait que dans le « package » du projet Héloïse, il y ait l’installation au sein du « pôle commerce d’une « grande surface ». La venue d’un « Leclerc » est évoquée !
         Jusqu’à présent, lorsqu’il s’est agi du projet de l’installation à cet endroit de commerces de taille, seuls un magasin d’outillage, ou une jardinerie, ou encore une « FNAC » ont été évoqués.
         La présence du Géant Casino de Côté Seine et d’un Leclerc à quelques centaines de mètres l’un de l’autre ne poserait pas un petit problème ?
         A moins que dans le cadre de ce « projet Héloïse », la mort de Côté Seine soit programmée ?
         Deux questions légitimes. Et les édiles d’Argenteuil, maire et encore-député doivent y répondre. Tout comme le président du Conseil économique d’Argenteuil, bien silencieux ces derniers temps.

Domidep, "les Pensées" : la direction doit enfin entendre les revendications. 17ème jour de grève !


17 ème jour de grève aux « Pensées »

 
         Les grévistes de cet EHPAD non loin du centre d’Argenteuil  viennent d’entamer leur troisième semaine de grève. Pour ces femmes et ces hommes qui ont des petits salaires, il a vraiment fallu qu’ils ne puissent plus subir leur situation pour en arriver là. Nous rappelons que cela fait des mois et des mois qu’ils alertaient leur direction que cela ne pourrait pas durer éternellement.
         16 jours de grève déjà. Dorénavant l’Inspection du travail suit de près le fonctionnement de cet EHPAD. La sous-préfète d’Argenteuil s’inquiète. Et du côté du conseil départemental ?
         La direction et Domidep vont-ils enfin bouger ?
         C’est l’Union locale des syndicats CGT d’Argenteuil qui épaulent ces grévistes.
         Oui, les grévistes ont maintenant besoin du soutien de tous. Alors, la main à la poche, et vive cette grève, qui est le seul moyen pour les travailleurs de se faire entendre ! 

Pour information, l’article du Parisien-95

Argenteuil : seizième jour de grève à la maison de retraite

 


|Marjorie Lenhardt|Argenteuil, ce mercredi 17 mai 2017. L’ensemble du personnel de l’Ehpad « Les Pensées » est en grève. Il demande notamment une revalorisation de leur salaire. LP/Marjorie Lenhardt 

L’ensemble du personnel de l’Ehpad « Les Pensées » est en grève. Il demande notamment une revalorisation des salaires et des embauche.
Les aides-soignantes et infirmières de la maison de retraite « Les Pensées » d’Argenteuil entameront ce jeudi leur seizième jour de grève. « Ce n’est pas facile, mais on tient le coup. On ne lâchera pas ! » prévient une des aides-soignantes de cet établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), appartenant au groupe privé Domidep.
Elles sont encore 90 % à vouloir faire entendre leurs revendications, notamment en termes de revalorisation de salaire et d’embauche de personnel : aide-soignante, infirmière et lingère. Les négociations sont toujours en cours, mais pour l’heure, les grévistes refusent les propositions de la direction. « Ils nous ont proposé une prime d’intéressement, mais ce n’est pas ce que nous demandons. Nous voulons qu’ils nous augmentent nos salaires mensuels, sans condition de résultat », explique encore l’employée.
« L’inspection du travail s’intéresse aujourd’hui de près aux contrats de travail mis au point par Domidep », souligne Dominique Mariette, candidat (LO) de la 5e circonscription (Argenteuil - Bezons) aux élections législatives. Ce dernier a d’ailleurs lancé sur son blog un appel « à aider financièrement » les grévistes.
Du côté de la direction, la durée de la grève étonne : « Nous avons fait des propositions significatives très avantageuses, mais elles ont été refusées », explique Sébastien Renouard, directeur de l’établissement accueillant 88 résidents. Ce dernier précise que tout est fait pour assurer « les mêmes conditions de prise en charge et de sécurité » qu’en situation normale. Pour pallier les effectifs manquants, des agents ont été envoyés par des établissements partenaires.
                                                                                   leparisien.fr

Stations-service, grève et carburants, les raisons de la grève. Un article de notre hebdomadaire Lutte ouvrière qui paraît aujourd'hui


Camions-citernes : chauffeurs en grève 

Les conducteurs de camions transportant des matières dangereuses, comme du carburant, du gaz ou des produits chimiques, sont en grève depuis vendredi 26 mai. Ils organisent des barrages filtrants autour des dépôts et essaient de rallier d’autres conducteurs à leur mouvement.
Les conducteurs en grève exigent que, dans la convention collective du transport routier, soient prévues des mesures spécifiques prenant en compte la dangerosité de leur métier. Ils réclament par exemple un suivi médical tous les six mois car, lorsqu’ils chargent et déchargent les camions ils sont exposés à des émanations de produits toxiques malgré leurs vêtements de protection. Ils veulent aussi que leurs véhicules soient équipés d’alarmes se déclenchant en cas de malaise.
Les revendications portent également sur le temps de travail, qui est actuellement de 11 à 12 heures par jour. La CGT, qui est à l’origine du mouvement, réclame de le ramener à 10 heures, avec une période de repos hebdomadaire obligatoire de 45 heures consécutives.
Les grévistes réclament enfin un treizième mois et une augmentation du taux horaire minimal de 10 à 14 euros.
La grève a été déclenchée alors que les organisations patronales du transport routier faisaient la sourde oreille depuis le 10 mai. Les conditions dans lesquelles elles obligent les chauffeurs de camions-citernes à travailler sont pourtant scandaleuses. Ne pas avoir à risquer sa santé, voire sa vie, en conduisant, ou ne pas avoir à faire 56 heures par semaine, cela devrait être reconnu depuis longtemps. Il en va de la sécurité des chauffeurs, mais aussi de tous les usagers de la route et des riverains.
Cette situation perdure pourtant, simplement parce qu’elle assure les profits des patrons du secteur routier et contribue à grossir ceux des grandes sociétés chimiques ou pétrolières. Cela a assez duré, et pour se faire entendre les chauffeurs ont utilisé la meilleure arme à leur disposition, la grève.

                                        Daniel MESCLA (Lutte ouvrière n°2548)

Argenteuil Bezons, Législatives, votez pour des candidats militant pour le camp des travailleurs. Mais que pourraient-il faire s'ils étaient élus ? (Ne rêvons pas)


Que pourrait faire un député des travailleurs à l’assemblée dite nationale ?

Si l’un d’entre nous se retrouvait (vu le système électoral, il y a aujourd’hui aucune chance) à l’Assemblée, il pourrait y être les yeux et les oreilles des travailleurs, utiliser son mandat de député pour faire entendre les intérêts de sa classe. Sur chaque loi soumise au vote et à l’occasion de chaque discussion, sa voix serait là pour exprimer les intérêts des exploités de façon indépendante et sans compromission avec les partis de la bourgeoisie. Il pourrait aussi se faire le relais des luttes ouvrières qui se déroulent dans le pays, montrer que ces combats font partie d’une guerre globale entre la classe capitaliste et la classe ouvrière. Mais c’est justement l’élection de ce genre de députés que le système politique cherche à éviter. 

Jeudi 8 juin
A 20 heures
SALLE PIERRE DUX
Complexe Jean Vilar
9 bd Héloïse
Avec Dominique MARIETTE
Candidat de Lutte ouvrière
Dans la circonscription d’Argenteuil-Bezons
Et avec son suppléant
Michel CAMPAGNAC


Presles Fête de Lutte ouvrière 2017, c'est après demain samedi...


Bienvenue à la Fête !




Depuis des années, l’existence de notre Fête, ce rassemblement de plusieurs dizaines de milliers de personnes, est la preuve que le courant communiste révolutionnaire est bien vivant. Pour tous ceux qui n’acceptent pas cette société capitaliste, qui n’acceptent pas la misère, le chaos et la barbarie qu’elle produit dans le monde, notre Fête est un moment de discussions, d’échanges fraternels, en bref une grande bouffée d’oxygène. C’est un grand rendez-vous pour ceux qui pensent que la lutte pour l’émancipation des travailleurs est toujours à l’ordre du jour.

Et puis, c’est évidement aussi l’occasion de se distraire, entre les films, les spectacles et les jeux, sans oublier les nombreux stands culinaires. À tous, bonne Fête de Lutte ouvrière !




La Fête sera ouverte du samedi à 11 heures jusqu’au soir à 23 heures, puis sans interruption du dimanche matin 9 heures  au lundi à 20 heures.


Le programme de la fête, tout sur

https://fete.lutte-ouvriere.org/

Un car unique part d’Argenteuil le dimanche 4 juin. Il part à 
9  heures de la
 place Chauvelot à Joliot-Curie. Puis un arrêt est prévu à 9 heures 15
 devant l’Hôtel de ville, puis à 9 heures 25 près de Simply dans le
 quartier du Val Sud. Il revient le soir, départ de la fête à 19 heures.
Il est gratuit, mais il faut réserver sa place. Il y a 55 places