mercredi 19 septembre 2012

Austérité en Grèce : une bonne affaire pour le patronat

Selon une agence de statistiques européenne, le "coût unitaire du travail"  aurait chuté de 11,5% en Grèce durant les trois premiers mois de 2012 !
     Avec ce coût, il s'agit de ce qu'un employeur doit payer en salaire pour une heure de production.
     L'austérité est pour les travailleurs... Pour le patronat, elle permet la hausse des profits. En Grèce... comme ailleurs.

ESD : la grève continue

Les travailleurs de cette entreprise localisée à Argenteuil continuent leur grève engagée ce lundi. Ils réclament entres autres une augmentation de salaire de 100 euros.
     L'Union départementale CGT appellent les salariés des autres entreprises à venir les soutenir, financièrement, et par leur présence : rendez-vous : 8 rue Guy Moquet à Argenteuil (zone industrielle du Val).

Traité budgétaire : pas de diversion pour l’abandon de la lutte, ici, contre la politique patronale



Traité budgétaire : pas de diversion pour l’abandon de la lutte, ici, contre la politique patronale
La campagne du gouvernement pour l’adoption du Traité budgétaire européen démarre aujourd’hui au Conseil des ministres. Ce traité dit « TSCG » servira de caution à chaque Etat européen pour justifier l’austérité qu’il impose de toute façon aux classes populaire, avec ou sans traité. Le Front de gauche, c’est-à-dire le Parti de Gauche de Mélenchon et le PCF, ont lancé une campagne pour réclamer que le gouvernement organise un référendum sur le sujet. Car la mise en place de cette consultation dépend uniquement du bon vouloir de la majorité en place.
     Traité ou pas, ce n’est pas une institution comme l’Union européenne qui est responsable du chômage et des bas salaires. c’est le patronat et sa soif de profit. Une campagne contre le traité européen est une diversion puisqu’elle détourne les travailleurs de leur véritable priorité, la lutte contre la politique patronale, ici en France.

Education : ré-embauche immédiate de tous les « précaires »



Il y a quelque temps, Peillon évoquait le sort des 14 000 précaires existant selon lui à l’Education nationale.
     Il n’y avait pas besoin, eux, de les recruter et les former pour cette rentrée. Pourtant, nombre d’entre eux, trois semaines après celle-ci, sont toujours sans affectation, y compris des précaires disposant d’un contrat à durée déterminée !
     Les classes voient leurs effectifs exploser. Il faut créer de nouvelles classes.
     Embauche immédiate de tous ces salariés précaires !

mardi 18 septembre 2012

Lutte Ouvrière : une réunion publique à Argenteuil ce vendredi 21 septembre


Vendredi 21 septembre
Réunion publique de Lutte Ouvrière-groupe d’étude ouvrière
Quatre mois après l’arrivée de la gauche au gouvernement :
Quelle situation politique et sociale ?
Quelles perspectives pour le monde du travail ?
Quels objectifs pour ses militants ?
20 heures 15
Espace Nelson Mandéla, bd Leclerc