Affichage des articles dont le libellé est situation économique. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est situation économique. Afficher tous les articles

samedi 17 décembre 2022

Économie capitaliste : une économie incontrôlable

Une économie qui s’enfonce dans la crise

 

Jeudi 15 décembre, le Cac 40 a connu sa pire séance depuis neuf mois en perdant plus de 3 %. Cela fait suite à l’annonce de nouvelles hausses des taux d’intérêt de la Banque centrale européenne. Le même jour, l’Insee annonçait une croissance en baisse de 0,2 % pour la fin de l’année et une hausse des prix « officielle » de 6,2 % sur un an.

         L’économie s’enfonce dans la crise, ce qui n’empêche pas les grandes entreprises de faire des profits record car ce sont les travailleurs qui la payent. Pour défendre leur peau, ils doivent se préparer à renverser cette société complètement folle.

 

Les prochaines permanences prévues.

-aujourd’hui samedi 17 décembre, de 10 h.15 à 10 h.55 devant Monoprix ;

Et de 11 h. à midi au marché de la Colonie ;

-dimanche 18 décembre :

-de 10 h.15 à 10 h.55, devant l’Intermarché du Centre,

 Et de 11 h. à midi au marché Héloïse.

-mercredi 21 décembre, de 11 h. à 11 h.30 au marché des Champioux.

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,5 euro), et Lutte de classe (2,5 euros) n° 228 à paraître ce vendredi, en vente :

           -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac du Val-Nord (le journal seulement) et à la librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri (On y trouve aussi la LDC) 

 

Le samedi 11 mars 2023

Banquet fraternel 2023 des Amis de Lutte ouvrière à Argenteuil

Réservez vos places

17 euros et 8 pour les enfants accompagnés de moins de 14 ans

 

vendredi 7 octobre 2022

Inflation ou chômage : deux façons de nous appauvrir

 

Inflation ou chômage : deux façons de nous appauvrir

05 Octobre 2022

« Pour réduire l’inflation, il faut augmenter le chômage », a déclaré l’économiste Patrick Artus au journal Les Échos. Il formule tout haut ce que les représentants de la bourgeoisie mettent en œuvre un peu partout dans le monde.

 

Jerome Powell, le président de la banque fédérale américaine, la Fed, vient d’augmenter à plus de 3 % les taux d’intérêt auxquels les banques empruntent auprès de la Fed et envisage de les porter bientôt à 4,5 %. Il y a un peu plus d’un an, ces mêmes taux étaient à 0 %. En Europe, Christine Lagarde, présidente de la BCE, applique la même politique avec un temps de retard.

En relevant leurs taux d’intérêt, les banques centrales veulent réduire les crédits accordés par les banques et rendre les emprunts plus coûteux. Cela concerne les États, les entreprises et les ménages. Leur but, explicite, est de « ralentir le marché », en réduisant la demande de tous les biens, produits manufacturés ou biens immobiliers. Ils espèrent que les prix baisseront, faute d’acheteurs en nombre suffisant, les particuliers ne pouvant plus emprunter pour acheter un logement ou une voiture.

Avec des taux en hausse, les entreprises, petites, moyennes ou grosses, mais moins rentables, trouveront plus difficilement des crédits pour investir. Elles réduiront la voilure ou feront faillite. Dans tous les cas, elles supprimeront des emplois. Davantage de chômage, et de préférence des chômeurs peu ou pas indemnisés, cela obligera tous les travailleurs à accepter des salaires plus faibles, mettant les patrons en positions de force pour refuser des augmentations. C’est l’objectif réel de la politique des banquiers centraux.

Quant à la montée brutale des prix, il n’y a pas besoin de faire tourner les tables pour l’expliquer. Elle résulte d’abord et avant tout du choix de quelques capitalistes en position de monopole, dans l’énergie, le transport maritime et d’autres secteurs, d’organiser la pénurie pour faire monter les prix et engranger des surprofits. À ces choix malthusiens, s’ajoute le chaos d’une économie mondialisée sans planification, où tout aléa, Covid, blocage du canal de Suez, guerre en Ukraine, peut désorganiser la production et le transport.

Tels les médecins charlatans mis en scène par Molière, les « experts » du 21e siècle, totalement démunis pour soigner et réguler l’économie capitaliste à l’agonie, mais dévoués à leurs maîtres, ne connaissent que deux remèdes : la purge et la saignée. Et c’est toujours aux classes populaires qu’ils les infligent.

                                                    Xavier LACHAU (Lutte ouvrière n°2827)

 

…………………………………………………………………………………………………………

CGT-PSA : non à l’exclusion de vrais militants ouvriers, oui à la démocratie de l’organisation des travailleurs

 

Signez la pétition. Cela concerne chaque travailleur, chaque militant de la CGT mais aussi de tous les syndicats.

 

Soyons à leur côté, signons la pétition

 

Soutenons les militants de la CGT-PSA historique de l’usine de Poissy menacés d’exclusion par la Fédération CGT de la métallurgie

Tribunal de Bobigny (93)

Jeudi 20 octobre à midi

 


 

 

Renverser le capitalisme, une nécessité !

Meeting avec Nathalie Arthaud à Paris

Samedi 8 octobre, à 15h

Théâtre de la Mutualité, 24 rue Saint Victor, Paris 5e

Entrée libre

Départ collectif d’Argenteuil, RDV à 13 h.30 au « Café des deux gares »

 

Les prochaines permanences prévues.

-aujourd’hui vendredi 7 octobre, de 15 h. 15 à 16 h.45 au marché du Val-Nord ;

-et de 17 h.15 à 18 h.15 au carrefour Babou.

-samedi 8 octobre, de 10 h.15 à 10 h.55 devant Monoprix,

-de 11 h. à midi au marché de la Colonie,

-de 11 h. à 11 h.45 devant Auchan au Val-Sud,

Et de 11 heures à midi dans le centre commercial Joliot-Curie.

-dimanche 9 octobre, de 10 h.15 à 10 h.55 devant l’Intermarché du Centre ;

-et de 11 h. à midi au marché Héloïse.

-lundi 10 octobre, de 18 à 19 heures, centre commercial des Raguenets à Saint-Gratien.

-mercredi 12 octobre, de 11 h. à 11 h.30 au marché des Champioux.

 

 

 

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,5 euro), et Lutte de classe (2,5 euros) n° 226 à paraître :

                   Notre hebdomadaire en vente :

           -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac du Val-Nord ;            

         -librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri (On y trouve aussi la LDC)