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mercredi 30 août 2023

Grand patronat, Medef : crier avant d’avoir mal

 

Pourtant ils le savent : il pleut toujours où c’est mouillé

 

 

Il a suffi que le gouvernement envisage d’étaler sur quatre ans la baisse des impôts dits « de production » à régler par les grandes entreprises pour que le Medef crie au scandale.

         Rien n’est encore décidé ; et on peut parier que quelques centaines de grands patrons trouveront une oreille plus attentive à leurs revendications que les millions de travailleurs auxquels la réforme des retraites a été imposée malgré leurs protestations…

 

Les prochaines permanences :

-aujourd’hui mercredi 30 août, de 11 h.30 à midi, marché des Champioux ;

-Vendredi 1er septembre, de 15 h.30 à 16 h.30, marché du Val-Nord ;

- et de 17 h.15 à 18 heures 15, carrefour « Babou ».

Toutes les semaines, l’hebdomadaire Lutte ouvrière est en vente au Presse-papier, la librairie du centre.

jeudi 6 juillet 2023

Roux de Bézieux, la Seine-Saint-Denis et la haine de sa classe

 

Les incendiaires, ce sont eux

 


Sur France Inter, le patron du Medef, Roux de Bézieux, a osé dire que « le premier employeur de Seine-Saint-Denis c'est probablement le trafic de drogue » ! C'est plus facile de propager des préjugés éculés plutôt que de dire, par exemple, que la fermeture en 2013 de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois a entraîné la disparition de milliers d'emplois dans ce département. Il aurait aussi pu développer le rôle des grandes banques dans le blanchiment de l'argent sale.

         Avec le capitalisme, l'individualisme et la course au profit bousillent la société. Et pour tout ça, ceux qui s'y connaissent le mieux, ce sont les bourgeois !

jeudi 6 avril 2023

Medef : le maître critique le service de son valet

Bientôt privé de ses gages ?

 


 

Interviewé, Roux de Bézieux, le président du Medef, approuve l’attaque contre les salariés visant à les faire travailler deux ans de plus. Il fait aussi la leçon au gouvernement, soulignant qu’il s’y est mal pris, en finissant par mobiliser des millions de travailleurs dans les rues. Et de vanter les méthodes du patronat, qui « sans bruit et sans fureur » réussit à imposer l’exploitation et les bas salaires à coup de discussions avec les directions syndicales.

         Macron a beau lui servir la soupe, le patronat n’hésite pas à lui taper sur les doigts quand ça ne marche pas aussi bien qu’il le souhaiterait.

         Mais qu’il s’agisse du maître patronal ou de ses valets politiques, c’est bien le « bruit et la fureur » des travailleurs en grève qu’ils craignent.