Argenteuil, collège Ariane en grève hier, un mouvement pour mettre en place des conditions d’enseignement normales pour tous, élèves et personnels

 

La grève est le seul moyen déjà de se faire entendre

 

 

Le collège Ariane du quartier Volembert est un des 9 collèges d’Argenteuil. Prévu initialement pour un effectif de 600 élèves, il en a actuellement 630 avec en vue 700. Des Algécos ont été installés, mais les effectifs des personnels dits d’éducation (la « vie scolaire » si importante) n’ont pas évolué pour autant.

         Toutes fonctions confondues, la grève d’hier a été massive. 32 enseignants sur les 37 susceptibles d’être présents ce jour-là ont arrêté le travail.

         L’objectif du mouvement était d’obtenir un rendez-vous à la direction académique du Val d’Oise pour exiger les recrutements qui font défaut. C’est chose faite, il aura lieu mardi prochain à Osny. DM

Vive les grèves pour la régularisation des sans-papiers !

 

Des papiers pour tous !

 

 

Un syndicat accuse en justice La Poste de fermer les yeux sur l’exploitation de travailleurs sans-papiers. Le résultat du procès n’est pas encore connu, mais c’est un fait que, dans ses filiales, La Poste emploie des centaines de travailleurs sans-papiers, à qui elle impose des conditions et des horaires encore plus durs qu’aux autres salariés.

         Des dizaines d’entre eux ont trouvé le moyen de la combattre : ils ont obtenu leur régularisation après des mois de lutte. D’autres sont actuellement en grève pour la même revendication. Ils ont tout notre soutien.

Disneyland Paris : la grève, une attraction supplémentaire inattendue

 

Dis, Picsou, tu passes quand à la caisse !

 

 

Plusieurs centaines de travailleurs de la maintenance, des hôtels, de la sécurité, de la restauration et de l'animation ont fait grève le 23 mai au parc Disneyland de Seine-et-Marne pour réclamer une augmentation de salaire de 200 euros, le paiement double des dimanches travaillés et une amélioration de leurs conditions de travail.

         L'envers du décor est loin en effet du conte de fées : assis sur ses milliards de profits, le groupe Disney refuse d'aller au-delà de 3 % d'augmentation, moitié moins donc que l'inflation officielle.

         Complètement Dingo !