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samedi 28 novembre 2020

Bonnes lectures du Confinement 2. Vingt-huitième et dernier jour. Le testament anglais, de Jonathan Coe, chez Folio

 

Ce livre date de 1995 (prix Fémina étranger), mais ce fut encore pour moi cette année une belle découverte.

         L’aristocratie anglaise. Un geste d’histoire du XXème siècle. Et un style très british. En l’occurrence, du grand style.

         On n’est pas loin du polar, certes de « classe ».

         Bref, un moment savoureux de lecture qui éclaircira vos heures à n’en pas douter. D’autant plus si le confinement qui se poursuit vous rend maussade. Comme une lecture thérapeutique.

         Bonnes lectures du Confinement 2. Vingt-huitième et dernier jour de ma chronique, puisque, même si le confinement lui-même continue, les lecteurs avides de livres peuvent dorénavant retourner en acheter en musardant comme je l’ai dit plus haut dans les bonnes vieilles librairies indépendantes, telles, à Argenteuil, la librairie Le Presse-papier, mais également aussi « Les rêves » avenue Henri Barbusse. DM

vendredi 27 novembre 2020

Bonnes lectures du confinement, vingt-septième jour. Comme un empire dans un empire, d’Alice Zéniter, Flammarion

 


Oui, je l’avoue, j’ai un faible pour Alice Zéniter depuis le premier livre que j’ai lu d’elle, Sombre dimanche. Et puis son si remarquable l’art de perdre…

         Pas de souci, Alice Zéniter sait mener sa barque romanesque.

         Cela se vérifie une nouvelle fois dans son dernier roman, Comme un empire dans un empire.

         Certes, ses personnages ne me sont pas spécialement sympathiques, de l’attaché parlementaire d’un député PS que l’on aurait vraiment envie de secouer, à ce trentenaire qui a dit tchao à la Ville pour rester dans son espace rural loin d’elle. Et puis, il y a cette hackeuse qui ne sait plus trop où elle en est et qui n’a pas forcément mesuré les risques encourus.

         Mais que cela me plaise ou pas, le roman nous fait approcher ce monde des chausse-trappe de l’informatique que je ne connaissais pas, comme bien des lecteurs.

         Et puis, ces personnages de trentenaires sont une fraction de la jeunesse d’aujourd’hui. Nous les espérions entraînés par bien d’autres espérances, de mon point de vue, mais ils sont comme ils sont, et je le répète, ils existent et c’est bien vu dans le roman.

         Peut-être que demain, Alice Zeniter nous parlera de ceux-là, qui existent aussi, plus porteurs d’espoir, et qui méritent amplement que l’on parle également d’eux. DM

         À Argenteuil, la librairie Le Presse-papier n’échappe pas au confinement (le point presse en revanche continue de fonctionner). En revanche, l’achat de « livres à emporter » est possible.

         À l’étage librairie, on demande un livre, et on vous l’apporte. On peut aussi téléphoner pour commander au :

0139619395

jeudi 26 novembre 2020

Bonnes lectures du Confinement 2. Vingt-sixième jour. Mon traître, de Sorj Chalandon, le livre de poche

 


L’auteur a travaillé comme journaliste, en particulier sur l’Irlande. Il est aujourd’hui romancier. Tout naturellement ce roman a un certain rapport avec cette île bien particulière et la lutte de l’IRA (l’Armée Républicaine Irlandaise) contre l’armée britannique. Une lutte implacable, meurtrière, qui a abouti aujourd’hui à une situation de compromis en Irlande du Nord.

         Le titre du roman a un certain rapport, pour ne rien vous cacher, avec le sujet du roman.

         Je n’ai pas lu ce très bon livre à sa sortie en 2008. Il y a quelques mois, ce fut la belle découverte d’un très bon roman.DM

 

         À Argenteuil, la librairie Le Presse-papier n’échappe pas au confinement (le point presse en revanche continue de fonctionner). En revanche, l’achat de « livres à emporter » est possible.

         À l’étage librairie, on demande un livre, et on vous l’apporte. On peut aussi téléphoner pour commander au :

0139619395