Affichage des articles dont le libellé est bulletin des Territoriaux d'Argenteuil et de la CAAB. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est bulletin des Territoriaux d'Argenteuil et de la CAAB. Afficher tous les articles

mardi 10 mars 2015

Bulletin Lutte Ouvrière des Territoriaux d'Argenteuil et de l'Agglomération de ce mardi 10 mars 2015



Petit Oscar pour grande série noire
On croyait qu’il s’agissait d’un DGS. Mais non ! Pistolet à la main, il s’avance. Sans état d’âme. Déterminé, il tire sur sa 380ème victime, encore un CDD.
« Costkiller »... pardon, « Low costkiller ».

Très-très cher en tout cas
Les paris sont ouverts : combien les contribuables argenteuillais ont-ils payé pour permettre l’embauche de « Costkiller » ?
Nous nous sommes renseignés : sur le marché : on n’en trouve pas à moins de 10 000 euros mensuels. Sans compter les avantages en nature.
Il ne s’est tout de même pas bradé pour les beaux yeux du maire !

Retour très loin en arrière
Les animations passées à l’occasion du 8 mars nous donnaient au moins l’occasion de nous retrouver entre copines. C’en était trop pour les hommes du 3ème. Ils les ont supprimées comme ils ont réduit à l’ombre de ce qu’elle fut la « Maison des femmes ».
Ils doivent nous préférer à la cuisine et dans les magazines.

Derrière les intentions…
Il y avait dans l’agora la semaine passée une exposition consacrée à des femmes « connues ». Les panneaux étaient encadrés de pots de plantes vertes.
Remettre les femmes au milieu des pots de fleurs tout un symbole.

Même les bambins ne s’en lavent pas les mains
À la maternelle Cachin, rue Utrillo, un bambin s’est retrouvé hors de l’école mercredi dernier.
La municipalité dit qu’elle n’y est pour rien.
L’Éducation  nationale dit la même chose.
Rien à voir avec la grande pagaille qui règne depuis des mois dans les écoles maternelles, en liaison avec les horaires scolaires actuels en particulier ?

À fermer rapidement à clé
On croyait avoir trouvé le pire aux ateliers municipaux de la rue Pierre Guienne. Et bien non, il y a pire que pire, l’atelier de la serrurerie… sordide.

Et pas à la saint glin-glin
À l’école maternelle Jules Ferry, trois agents contractuels ont appris que leurs contrats ne seraient pas renouvelés.
Et à quelques jours de la « journée des femmes ».
Un jour, on leur fera aussi leur « fête ».

ans réserve, à fond contre nous
Cela nous arrive que l’on nous répète qu’en tant que fonctionnaires, nous aurions une « obligation de réserve ».
« Costkiller », l’autre soir sur France 2, son « obligation de réserve » il l’avait mis dans son holster.
Ce n’est pas lui qui avait diffusé une note de service sur le sujet ?

Basses manœuvres
Dans les écoles, par une note de service emberlificotée affichée dès la rentrée, la municipalité, sous prétexte de l’existence d’un préavis de grève, a voulu semer la zizanie entre les personnels et les parents.
Pour régner, elle a besoin de la division.
Son entreprise a fait : « plouf ».

Calomnie
Une habitante proteste contre une menace d’huissier. Il y a erreur. Un conseiller municipal donne l’explication suivante : « certains dans les services veulent peut-être discréditer la municipalité » !
C’est la municipalité qui discrédite le travail des agents en supprimant des postes en organisant la désorganisation.

Avec nos impôts ?
Avec la campagne électorale, on voit des choses étonnantes. Des agents de la Ville recrutés par la municipalité après mars se retrouvent à faire campagne dans la journée pour des candidats de la… municipalité.
Une façon pour cette dernière de faire des économies… de militants ?

L'art de dissimuler les chômeurs
Le gouvernement va débloquer 170 millions d'euros pour des « contrats aidés » qui permettent d'embaucher des chômeurs, surtout dans des collectivités locales ou associations. Tant mieux pour les bénéficiaires. Malheureusement cela ne dure que quelques mois, ensuite c'est de nouveau la galère. Mais cela permet de modérer de manière artificielle les chiffres du chômage.
Tant qu'il n'y aura pas de moyens sérieux, à commencer par l'interdiction des licenciements, les mesures prises ne seront que du bricolage.

mardi 10 février 2015

Territoriaux d'Argenteuil : bulletin Lutte Ouvrière des territoriaux d'Argenteuil et de l'Agglàomération de ce mardi 10 février 2015



Tous ensembles on devient fort
Depuis mercredi dernier, tous ensembles, nous montrons au maire et à la direction générale que la situation qui nous est faite ne peut plus durer.
Agents contractuels jetés vers Pôle emploi, harcèlement, surcroît de travail, suppressions de postes, et l’on en passe, tout cela ne peut plus durer.
À nous de nous faire entendre, de plus en plus fort, de plus en plus nombreux, dans les jours, dans les semaines qui viennent.

Une vue très basse
Selon les déclarations du maire, mercredi, il n’y aurait eu qu’une centaine ou un peu plus de grévistes
La réalité, plus de la moitié des agents étaient en grève ce jour-là.
Il doit aller d’urgence chez l’ophtalmo.

Le maire, un sacré bloqueur
Ça lui a pris comme ça, une sorte d’idée folle, sans doute pour aider à sa façon les grévistes du service des sports. Le maire a fait fermer pour le week-end toutes les installations sportives.
Sa prochaine initiative : bloquer totalement l’Hôtel de Ville ?

Dépensiers
La semaine passée, à l’hôtel de Ville, une grande partie du personnel de sécurité étant en grève, la direction générale a dû faire appel à une entreprise de sécurité.
Des dépenses à mettre sur le dos du maire précédent ?

Pas chaud, et même pas de marrons
Mercredi matin, à potron-minet, cadres et élus ont dû se rendre à l’évidence : il y avait grève, et impossible de rentrer dans l’Hôtel de Ville.
Faire le poireau sur le trottoir durant quelques heures, il paraît que ça permet d’activer le sang et les neurones. En temps de grève, c’est très utile.

Une quête pour le maire !
Le maire a l’habitude de ne pas prendre de gants lorsqu’il s’adresse à nous ou parle de nous. Il nous en a donné mercredi et jeudi une nouvelle illustration.
Une bonne paire de gants, sur le marché, cela ne va pourtant pas chercher loin !

Faire le travail, oui, mais toujours par les autres
Avec la grève, pour le portage des repas aux anciens, on a demandé à des secrétaires de grands chefs de remplacer les grévistes.
Comme si ces « grands chefs » ne pouvaient pas les porter eux-mêmes !

N’a rien à faire d’autre ?
À l’Agglo, à Argenteuil, sur Orgemont, un responsable de secteur du service du nettoyage des rues passe son temps à nous reprocher de trop aller aux toilettes.
S’il passe son temps à observer le travail des autres, c’est que, lui, il n’a vraiment pas grand-chose à faire.

Merci patron !
Depuis un an, Torquemada applique avec zèle et mépris la politique anti-ouvrière de la municipalité relayée par les différentes directions.
Il vient de voir sa paie augmenter d’une belle façon !
D’une valeur de combien de contractuels remerciés par ses soins ?

Impression… de gâchis
Les allées du parc des Impressionnistes du Centre-Ville ont bien été refaites et bétonnées, mais elles sont trop étroites pour les véhicules d’entretien. A l’Agglo, cela nous oblige à les faire rouler sur l’herbe, et cela détériore d’autant les abords.
Ce que l’on améliore d’un côté, on le défait de l’autre ?

Postes en friche
À l’Agglo, aux parcs et jardins, il n’est pas prévu de pourvoir les postes de ceux qui partent à la retraite.
Bien évidemment, pas question que nous fassions le surcroît de travail induit par cette situation.

Le chant des sirènes
Après l’air menace du risque de « mise sous tutelle », nous avons droit, et à volonté, du refrain : «on ne peut pas faire autrement, faut faire des économies !».
Les économies, selon eux, c’est bon pour notre dos. Quant à eux, les dépenses continuent.

Les joujoux de messieurs, les joujoux de mesdames
Ainsi, selon la fonction, le nombre d’enfants, la position dans la hiérarchie, question voiture de fonction, cela peut aller de la petite voiture de base à la voiture de grand tourisme avec de nombreuses options.
Dans les hautes sphères, quand il s’agit des voitures de fonction le mot « économie » connaît le sort du Titanic.  

L’absentéisme,
Quand ils nous parlent d’absentéisme, connaissent-ils l’âge moyen du personnel, les différents   métiers dont la pénibilité est avérée, le manque de matériel et la vétusté de certains équipements.
Pour les réponses, cherchez aux abonnés-absents.

mardi 27 janvier 2015

Argenteuil : bulletin des Terrritoriaux d'Argenteuil et de l'Agglomération de ce mardi 27.01.15



Après la mise sous tutelle, l’absentéisme ?
Toujours la même chanson, ils veulent nous faire croire que tous les maux viennent de nous, alors que la mauvaise gestion des finances, la surcharge et la souffrance au travail, la désorganisation des services avec les fins de contrat sont de leur fait.
Le contrôle des comptes et  de la gestion par la population est d’autant plus d’actualité.

Prétexte…
Pour lutter contre nos absences pour maladie, la municipalité annonce la multiplication des contrôles effectués par des boîtes agréées.
Cela fait une belle jambe aux virus et autres bacilles qui nous attaquent. En revanche cela grèvera un peu plus les dépenses que les mêmes prétendent combattre.

La santé n’a pas de prix
Le 30 juin prochain, le contrat de la mutuelle santé avec la Ville arrive à terme. L’existence de cette mutuelle-Ville est présentée comme la solution-miracle. Et avec cette échéance, tous les scenarii à la baisse peuvent être envisagés.
Avec des salaires qui nous permettent réellement de vivre, ce serait à chacun de pouvoir choisir la mutuelle de son choix.

C’est le maire qui va emmener les enfants aux toilettes ?
La présence d’une atsem par classe dans les grandes sections de maternelle est dans le collimateur de la municipalité.
Il va falloir leur rappeler que l’école publique et la maternelle en particulier ont besoin de tous les moyens nécessaires à son fonctionnement.

Le livre fermé de la municipalité
Dans les médiathèques, depuis des mois, des postes d’agents partis, en retraite ou d’eux-mêmes,  n’ont toujours  pas été remplacés. À cela, s’ajoute maintenant le non renouvèlement du contrat de deux agents.
Doit-on en déduire que la culture et le livre, cela ne les intéresse vraiment pas ?
En tous cas, nous sommes en colère.

Pris en otage !
Avec les grandes manœuvres du maire pour la liquidation de l’Agglo, c’est l’organisme HLM « AB-Habitat » qui risque de disparaître, en tout cas sous sa forme actuelle. Il risque d’être privatisé. Il n’y aurait pour la majorité de ses agents que le choix entre soit quitter la fonction publique, soit se retrouver entre les mains du CIG de Versailles.
Et tout cela pour des intérêts uniquement politiciens.

« La solitude… »
Il était bien seul cette année pour souhaiter la bonne année. Ce soir-là, une véritable épidémie s’est abattue sur nous. Bacille de la famille « on veut rester entre nous ». Virus de la catégorie « on n’est pas du même monde ».
En revanche sa cour, adjoints et conseillers, était au grand complet.

Font la fête… à la place du personnel
Lors des « vœux au personnel », si de nombreux agents parmi nous n’avaient pas envie d’entendre le maire déblatérer sur le personnel, il n’en a pas été de même pour les élus. La municipalité affichait presque complet.
Et ça a trinqué, ça a mangé, ça a guinché !
L’année prochaine, la municipalité peut sans souci intitulé cette soirée : « soirée des élus ».

Les horaires doivent être abandonnés
Les résultats d’un sondage réalisé dans les écoles en décembre montrent que les horaires scolaires mis en place en septembre sont rejetés par tous, et par nous-même en particulier dans les écoles.
Elle attend quoi, la municipalité, pour en changer et en mettre de nouveaux avec l’accord de tous ?

Le manque d’effectifs : une mauvaise graine
À l’Agglomération, aux « parcs et jardins », nous ne sommes pas assez nombreux pour entretenir correctement des parcs dont le nombre a augmenté.
Le hic, c’est que, plus on laisse à l’abandon ces espaces, plus les végétaux font de la « graine » et plus il y aura à entretenir…  Bref, une histoire sans fin.

Pointure « mépris »
À l’agglomération, dans le service des infrastructures, la responsable a répondu à un agent qui avait besoin de chaussures de sécurité pour faire un stage de formation qu’il n’avait qu’à en emprunter une paire à un collègue !
Et ce n’est pas une plaisanterie de 1er avril.

Les locaux de la « saint glin glin »
À Jean Vilar, nos locaux pour le personnel auraient besoin d’être complètement rénovés. Une énième fois, la Ville nous avait promis un début de travaux pour janvier. À quelques jours de février, toujours rien.
Alors, janvier peut-être. Mais de quelle année ?

Nous, on veut de la galette sur nos fiches de paie
« Dark » a pondu une note sur les… galettes où il évoque une habitude  de galettes mangées dans les services mais payées par la Ville !
Ça ne nous dit vraiment rien. Mais sans doute se base-t-il sur sa propre expérience de ce qui peut se passer dans la haute hiérarchie, car nous, vraiment, ça ne nous dit  vraiment rien.

À l’ abri du regard...
En prenant ses fonctions, le maire nous rassurait : « fini les mauvais traitements » !
9 mois plus tard, au rez-de-chaussée, face à l’ascenseur panoramique et à l’abri des regards, mauvais traitements et humiliations continuent de plus belle.
Alors fini le mauvais traitement oui mais de qui ?  Une seul solution, faire face tous ensemble car personne n’est à l’abri !

Des couloirs éclairés, mais pas eux
Pour certains élus ou hauts cadres, nous sommes comme transparents. Quand on les croise dans les couloirs, pas même un petit bonjour !
Auraient-ils besoin d’une bonne paire de lunettes ?