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jeudi 8 février 2018

Argenteuil-Bezons, banquet-fête de Lutte ouvrière à Bezons



Une réponse très tardive


En nous répondant très tardivement, le maire d’Argenteuil nous a mis en difficulté pour la meilleure préparation de notre fête annuelle 2018. Ci-dessous la lettre de désistement pour la date qu’il nous proposait pour l’utilisation du complexe Jean Vilar. Cela dit, nous vous attendons très nombreux samedi soir salle Aragon à Bezons.


M Dominique MARIETTE

2 rue Rouquès

95100 Argenteuil

06.99.49.98.64.

MDommarie@aol.com


                                                                  Argenteuil le 31 janvier 2018

Monsieur le Maire,

         Par votre courrier daté du 2 janvier dernier, envoyé le 19 et parvenu à mon domicile le 23, vous avez répondu favorablement à notre lettre d’octobre 2016. Vous nous accordez l’usage du complexe Jean Vilar le samedi 24 mars prochain et nous vous en remercions.

         Malheureusement, il nous est impossible de confirmer cette utilisation. Notre banquet nécessite des mois de préparation. Nous aurions pu l’assurer si cet accord était parvenu nettement plus tôt. Nous avons donc trouvé une solution alternative. Nous espérons, toutefois, une prochaine fois et comme les années passées, pouvoir organiser de nouveau notre banquet dans la salle des fêtes d’Argenteuil. Je vous adresserai d’ailleurs prochainement une demande à cet effet.

         Je vous prie, monsieur le Maire, d’agréer l’expression de mes meilleures salutations,

                                                                    Dominique MARIETTE 


    

mardi 30 janvier 2018

vendredi 19 janvier 2018

Argenteuil : censure du maire d’Argenteuil à l’encontre de Lutte ouvrière. Il interdit l’organisation de ce banquet. Soutenez celui-ci qui aura tout de même lieu


Non à l’interdiction de l’organisation de notre banquet 2018

N'en déplaise aux censeurs









Lettre ouverte au maire d’Argenteuil, aux conseillères et conseillers municipaux, à la population de la commune,

Monsieur le maire d’Argenteuil,
Vous avez décidé d’empêcher le parti Lutte ouvrière d’organiser son banquet 2018 sur la commune, banquet qui se tient chaque année depuis 1989 et qui y réunit ces dernières années près de 600 personnes.
Rappel des faits : Comme régulièrement, nous vous avons envoyé en octobre 2016 une lettre de réservation pour ce banquet 2018. Nous n’avons jamais eu de réponse à ce courrier. Nous avons pu longtemps penser que les aléas concernant l’avenir de la salle des fêtes Jean Vilar et de la mise en place de la structure provisoire de remplacement expliquait le retard de réponse.
         Mais début décembre, nous apprenions par hasard que, la fin de l’utilisation de cette salle des fêtes étant reportée, une « fenêtre » s’ouvrait pour la tenue du banquet Lutte ouvrière. Nous apprenions qu’une date avait été fixée, et qu’il ne restait qu’à ce que vous l’entériniez.
         Deux jours avant le conseil municipal, nous rencontrant sur le marché Héloïse, vous me dîtes que cela dépendrait de notre attitude lors du conseil municipal qui devait avoir lieu le 19 décembre. Chacun pourra juger du niveau d’une telle condition relevant plus d’une salle de classe primaire que des rapports qui doivent avoir lieu entre édiles et habitants.
         Le lendemain, nous croisant à nouveau, à l’occasion du « repas des anciens », vous me dîtes que nous aurions une réponse avant la fin de l’année. Celle-ci est arrivée, nous sommes le 17 janvier, et cette réponse ne nous est, malgré votre engagement, jamais parvenue.
         Loin de toute démocratie élémentaire, votre décision relève d’une attitude autocratique. Vous croyez nous faire payer de cette façon nos opinions et nos actes militants, puisqu’à Lutte ouvrière nous considérons que nos opinions impliquent que nous les mettions en pratique. Que nous dérangions vos opinions et vos actes, chacun le comprendra aisément, mais la démocratie la plus élémentaire exige qu’au-delà de tout, une place soit laissée à chacun, au niveau de l’expression comme de l’action et de ses moyens. Cela s’appelle les « libertés fondamentales ».
         Nous espérons que vos colistiers ne vous suivront pas sur cette voie, et nous appelons par ailleurs les Argenteuillais à être juge de son caractère désastreux.
                                                 Avec mes salutations,
                                                                  Dominique MARIETTE    

jeudi 11 janvier 2018

Argenteuil : vœux municipaux. Ils « veules », nous voulons !





Ils ne manquent pas d’air

La municipalité d’Argenteuil n’a pas fait de grands efforts pour trouver un axe pour ses vœux à la population : « Argenteuil dans l’air du temps » !
         Mais qu’est-ce que « l’air du temps » ?
         Il y a celui des dominants qui sent bon la hausse des profits et le contentement bellâtre des riches !
         Il y a celui du monde du travail qui devient irrespirable, qui voit ses conditions d’existence se dégrader depuis des années, et les difficultés, voire la misère, grandir en son sein.
         Qui, deux airs différents, même fondamentalement opposés.
         En ces temps où vont débuter les commémorations du cinquantième anniversaire de MAI 68, cela nous fait penser à un titre d’un cinéaste de l’époque : « Le fond de l’air est rouge ». Etait certes, mais pour nous, tôt ou tard,  sera à nouveau.




« Tu vœux ou tu ne vœux pas ? » Et bien, on ne veut pas !

Dans le climat général d’offensive de la municipalité d’Argenteuil, l’ensemble des syndicats de la Ville a décidé d’appeler au boycott du discours du maire lors des « vœux » de la municipalité en direction des travailleurs communaux, discours qui doit avoir lieu ce vendredi.
         C’est une excellente chose.
         En ce début d’année, chacun prend plaisir à souhaiter la « bonne année » à tous ceux que l’on apprécie à un titre ou à un autre, et à faire la bise à cette occasion.
         C’est vrai pour nos amis, nos camarades, mais pas pour nos adversaires ! 

Quant à ceux qui en ne se rendant pas à ces « vœux » auront l’impression d’être privés d’une de ces rares occasions de se rencontrer entre potes et copines, ils pourront toujours se rattraper en venant à la fête des amis de Lutte ouvrière d’Argenteuil et de Bezons, le samedi soir 10 février prochain. D’accord, ce sera 15 euros, mais ce sera pour la bonne cause !



mardi 14 novembre 2017

Argenteuil et Bezons : le banquet du 10 février 2018


Ça sera la fête !


FETE DES AMIS DE LUTTE OUVRIERE D’ARGENTEUIL ET

 DE BEZONS




SAMEDI 10 FEVRIER 2018

A BEZONS

Salle polyvalente Louis Aragon

44 Rue Francis de Pressensé,

Ouverture des portes à 16 heures

Meeting à 19 heures

Banquet à 20 heures

Adultes 15 euros - enfants de moins de 14 ans : 7 euros. On réserve dès maintenant.