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dimanche 18 février 2018

Argenteuil, banquet 2019 de Lutte ouvrière. Espoirs.


Tout cela serait tellement plus simple et davantage normal

 
C'est là où nous voulions faire notre banquet
Nous avons raconté ici les difficultés que nous avons eues pour obtenir une réponse pour l’organisation de notre banquet 2018. Celle-ci nous étant parvenue extrêmement tardivement, nous avons dû solliciter une solution de repli à Bezons, et décliner la proposition d’une date de la part de la municipalité d’Argenteuil quand nous l’avons reçue le 23 janvier dernier...
         A ce propos, via ses services, le cabinet du maire d’Argenteuil avait expliqué au Parisien 95 (confère son édition du 10 février dernier) que la réponse tardive n’avait « …aucun lien avec l’opposition au projet de l’île Héloïse, la réponse, positive, a tardé simplement pour une question de délai administratif ».
         Suite à tout cela, a contrario, notre lettre d’annulation aura vu son traitement en un temps record. Nous l’avons envoyée début février. La municipalité y a répondu par un accusé de réception daté du 6 février et envoyé le 9.
         Voilà qui est bien. Pour une question de « délai administratif » nous n’avons pas pu tenir notre banquet 2018 à Argenteuil, nous espérons simplement, le chapitre 2018 étant clos, retrouver pour 2019 les délais administratifs normaux de réponse nos demandes tels qu’ils existèrent pendant 27 ans.

lundi 12 février 2018

Fête de Lutte ouvrière d’Argenteuil-Bezons du 10.02.18 à Bezons : résumé en image


D’abord, un message de Liliane qui résume ce que nous voulons faire : 


« C'est le moment le plus convivial de l'année ! le sourire, le co-voiturage, l'attention pour les uns et pour les autres, les petites fées de la cuisine, les petits lutins de la transformation de la salle, la main tendue :" je ne te connais pas, mais je te vois tous les ans" bref l'amitié non politisée mais militante, merci à toutes et tous ! » 


De l’amitié très politisée également… En tout cas quelques photos à suivre










Banquet de Lutte ouvrière à Argenteuil délocalisé : un article du journal Le Parisien-95 du 10.02.18., qui a bien résumé la question


Argenteuil - Bezons : le banquet de Lutte ouvrière n’aura pas lieu à la salle Jean-Vilar


Argenteuil, mars 2017. La porte-parole de Lutte ouvrière, Nathalie Arthaud, ancienne candidate à l’élection présidentielle, était présente lors de ce banquet. DR

La réponse de la mairie d’Argenteuil a trop tardé à arriver pour permettre aux organisateurs de préparer l’événement dans la salle des fêtes.

C’est l’un des derniers grands banquets du mouvement ouvrier de toute la région parisienne. Le traditionnel banquet de Lutte ouvrière d’Argenteuil - Bezons se tient ce samedi. Mais pour la première fois en près de 30 ans, il n’aura pas lieu à la salle Jean-Vilar de l’île Héloïse mais à la salle Aragon de Bezons. Les organisateurs qui avaient fait la demande de la salle municipale d’Argenteuil en octobre 2016 n’ont obtenu de réponse de la part de la mairie, certes positive, que le 23 janvier dernier. « Comment voulez-vous organiser un tel banquet avec une réponse si tardive ? Il a fallu trouver une solution de replis », explique Dominique Mariette, militant (LO).

Les incertitudes liées à la fermeture de la salle Jean-Vilar expliquent que la mairie n’ait pas répondu plus tôt, comme elle le faisait les autres années. Dans le cadre du projet de construction d’un multiplexe et d’un pôle de loisirs, cette salle municipale devait être fermée dès le mois d’octobre pour être démolie dans les mois qui suivaient. Finalement, en novembre, sa fermeture a été repoussée en juin 2018 justement pour permettre de maintenir encore quelques événements associatifs. Mais pour le banquet, la réponse a malgré tout tardé. « L’histoire de la pétition (NDLR : contre la démolition de la salle Jean-Vilar et contre le projet Héloïse) a changé le climat avec la municipalité », considère Dominique Mariette. « Il n’y a aucun lien avec l’opposition au projet de l’île Héloïse, la réponse, positive, a tardé simplement pour une question de délai administratif », explique-t-on au cabinet du maire (LR), Georges Mothron.

Pour les organisateurs, la déception est d’autant plus grande qu’il pourrait bien s’agir de la dernière année pour la salle des fêtes. La première édition de ce banquet avait rassemblé une centaine de personnes en 1989 à la cantine de l’école Joliot-Curie. Quelques années plus tard, l’événement était organisé à la salle Pierre Dux et rassemblait 300 personnes. « Depuis une quinzaine d’années, l’événement a pris de l’ampleur et réuni entre 500 et 600 personnes chaque année », ajoute Dominique Mariette. « On est certes dans une période de morosité où le monde ouvrier est désorganisé mais il y a encore des militants à Argenteuil, en témoigne la manifestation de mardi dernier », constate-t-il. À Argenteuil et Bezons, le parti Lutte ouvrière réunit 150 militants, selon Dominique Mariette. Mais le banquet est un rendez-vous qui brasse beaucoup plus large auprès de sympathisants de LO, de militants du PCF, des syndicalistes de la CGT ou encore des membres des Insoumis.

Samedi, ouverture des portes à 16 heures au 44, rue de Pressensé. Programme détaillé sur le blog de LO Argenteuil. Tarif : 15 € pour les adultes et 7 € pour les enfants. Réservation au 06.99.49.98.64 ou mdommarie@aol.com.

             Marjorie Lenhardt, le 9.02.18

vendredi 9 février 2018

Banquet-fête de Lutte ouvrière d’Argenteuil-Bezons, c'est demain à partir de 16 heures Salle Aragon


Vive la fête, et hauts les cœurs


Quel que soit le temps, chacun sera ramené...

Plan pour le 44 rue Francis de Pressensé

 


Il nous aura fallu franchir bien des obstacles pour que cette 28ème édition de la fête 2018 des amis de Lutte ouvrière d’Argenteuil ait bien lieu.
         Ce banquet ouvrier date de 1989. Cette année-là, nous étions une centaine à festoyer dans la cantine de l’école Joliot-Curie que la municipalité PCF de Robert Montdargent nous avait gracieusement et démocratiquement allouée.
         Quelques années plus tard, ce banquet qui allait chaque année avoir lieu migra vers la salle Pierre Dux, et quand celle-ci fut devenue trop petite, nous occupâmes en plus la salle Jean Vilar dont nous suivîmes la décrépitude année après année, alors qu’il ne suffisait et qu’il ne suffirait pas de grand-chose pour en rénover les murs et les installations.
         Ce banquet qui grandissait, ouvert à tous, connu pour son ambiance fraternelle, accueillit Arlette LAGUILLER, puis Nathalie ARTHAUD.
         Chaque année, nous n’eûmes aucune difficulté pour nous voir attribuer ces salles, jusqu’à cette année… dans le cadre de l’incertitude qui pèse sur l’avenir du complexe Jean Vilar, et vu la mauvaise grâce de la municipalité à notre égard.
         Cette année, Bezons nous accueille dans sa salle Aragon. Nous avons fait le maximum pour que le banquet-fête de Lutte ouvrière soit à la hauteur de sa réputation. Nous avons franchi de nombreux obstacles pour qu’il en soit ainsi, en espérant que la météo ne sera pas cruelle avec nous.
         Que chacun trouve sans difficulté le 44 rue de Pressensé, qu’il s’obstine, s’il y a des difficultés de transport, qu’il nous joigne. Pour le reste, nous pouvons accueillir encore quelques convives. (0699499864 ou MDommarie@aol.com ou messenger).
         En tout cas, nous sommes prêts. Alors que vive la fête, c’est demain, et hauts les cœurs !


jeudi 25 janvier 2018

Argenteuil, la municipalité et le banquet de Lutte ouvrière


Ni fait ni à faire

Nous avons reçu mardi, mardi 23 janvier, la réponse du maire d’Argenteuil à notre lettre du 21 octobre… 2016 demandant la réservation du complexe Jean Vilar 2018 pour l’organisation de notre banquet annuel. Cette réponse est positive, elle nous propose un créneau pour un samedi de mars.
         La lettre municipale est datée du 2 janvier. Le cachet de la poste est du 19 janvier, et elle nous est parvenue le 23.
         On nous avait promis une réponse au moins avant la fin de l’année 2017, alors que la décision de prolonger l’utilisation de la salle Jean Vilar a elle-même été prise apparemment dès fin novembre.
         Pour des militants, des organisateurs, comment préparer les choses correctement ? Tout cela nous met dans l’embarras.
         Nous tiendrons nos lecteurs au courant de ce que nous allons faire.
         En attendant, il y a à Bezons notre grande initiative du 10 février prochain :


lundi 22 janvier 2018

Argenteuil, Bezons, le banquet 2018 de Lutte ouvrière, une « lettre aux amis »


D Mariette

2 rue Rouquès

95100 Argenteuil


06.99.49.98.64.                                                                   Argenteuil le 22.1.18


Cher(e) ami(e), cher(e) camarade,

Nous connaissons tous la politique menée par Georges Mothron jusqu’à 2012 comme député mobilisé contre le monde du travail, et comme maire à nouveau depuis 2014. Nous savons maintenant qu’il entend la démocratie la plus élémentaire d’une façon toute particulière. Il vient de décider comme un tsar qu’il n’attribuerait pas à Lutte ouvrière-Argenteuil la location de la salle des fêtes Jean Vilar, pourtant encore propriété de tous les habitants. Vous lirez la Lettre ouverte ci-dessous. Mais nous ne nous laisserons pas intimider, et la fête annuelle de Lutte ouvrière aura bien lieu en 2018, certes à Bezons, mais elle aura lieu !
         Et la meilleure protestation que vous puissiez faire est de venir nous soutenir en participant à ce banquet qui doit, n’en déplaise au maire d’Argenteuil, connaître un succès comparable à celui qu’il a connu ces dernières années. Alors réservez maintenant vos places pour ce banquet du 10 février prochain !
Pour les camarades de Lutte Ouvrière d’Argenteuil,

                                                                              Salut et Fraternité,

                                                       Dominique MARIETTE


Lettre ouverte au maire d’Argenteuil, aux conseillères et conseillers municipaux, à la population de la commune,

Monsieur le maire d’Argenteuil,

Vous avez décidé d’empêcher le parti Lutte ouvrière d’organiser son banquet 2018 sur la commune, banquet qui se tient chaque année depuis 1989 et qui y réunit ces dernières années près de 600 personnes.
Rappel des faits : Comme régulièrement, nous vous avons envoyé en octobre 2016 une lettre de réservation pour ce banquet 2018. Nous n’avons jamais eu de réponse à ce courrier. Nous avons pu longtemps penser que les aléas concernant l’avenir de la salle des fêtes Jean Vilar et de la mise en place de la structure provisoire de remplacement expliquait le retard de réponse.
         Mais début décembre, nous apprenions par hasard que, la fin de l’utilisation de cette salle des fêtes étant reportée, une « fenêtre » s’ouvrait pour la tenue du banquet Lutte ouvrière. Nous apprenions qu’une date avait été fixée, et qu’il ne restait qu’à ce que vous l’entériniez.
         Deux jours avant le conseil municipal, nous rencontrant sur le marché Héloïse, vous me dîtes que cela dépendrait de notre attitude lors du conseil municipal qui devait avoir lieu le 19 décembre. Chacun pourra juger du niveau d’une telle condition relevant plus d’une salle de classe primaire que des rapports qui doivent avoir lieu entre édiles et habitants.
         Le lendemain, nous croisant à nouveau, à l’occasion du « repas des anciens », vous me dîtes que nous aurions une réponse avant la fin de l’année. Celle-ci est arrivée, nous sommes le 17 janvier, et cette réponse ne nous est, malgré votre engagement, jamais parvenue.
         Loin de toute démocratie élémentaire, votre décision relève d’une attitude autocratique. Vous croyez nous faire payer de cette façon nos opinions et nos actes militants, puisqu’à Lutte ouvrière nous considérons que nos opinions impliquent que nous les mettions en pratique. Que nous dérangions vos opinions et vos actes, chacun le comprendra aisément, mais la démocratie la plus élémentaire exige qu’au-delà de tout, une place soit laissée à chacun, au niveau de l’expression comme de l’action et de ses moyens. Cela s’appelle les « libertés fondamentales ».
         Nous espérons que vos colistiers ne vous suivront pas sur cette voie, et nous appelons par ailleurs les Argenteuillais à être juges de son caractère désastreux.
                                                 Avec mes salutations,
                                                                  Dominique MARIETTE

                                                                                           

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    Contact : 2 rue Rouquès 95100 Argenteuil – MDommarie@aol.com – 06 99 49 98 64

                                                                                                                                                                                  Impr. Sp. LO  le 22.01.18.






mercredi 17 janvier 2018

Argenteuil banquet Lutte ouvrière et maire anti-démocrate


Petite vengeance anti-démocratique

Voir la lettre ouverte ci-dessous. Nous joindrons chaque conseillère et chaque conseiller municipal afin qu’il se prononce sur une décision anti-démocratique. Nous avons déjà reçu le soutien de l’Union Locale des syndicats CGT d’Argenteuil.  

M. Dominique MARIETTE

2 rue Rouquès, 95100 Argenteuil

MDommarie@aol.com  

06.99.49.98.64.                                                                    Argenteuil le 17.1.18.

Lettre ouverte au maire d’Argenteuil, aux conseillères et conseillers municipaux, à la population de la commune,

Monsieur le maire d’Argenteuil,
Vous avez décidé d’empêcher le parti Lutte ouvrière d’organiser son banquet 2018 sur la commune, banquet qui se tient chaque année depuis 1989 et qui y réunit ces dernières années près de 600 personnes.

Rappel des faits : Comme régulièrement, nous vous avons envoyé en octobre 2016 une lettre de réservation pour ce banquet 2018. Nous n’avons jamais eu de réponse à ce courrier. Nous avons pu longtemps penser que les aléas concernant l’avenir de la salle des fêtes Jean Vilar et de la mise en place de la structure provisoire de remplacement expliquait le retard de réponse.
            Mais début décembre, nous apprenions par hasard que, la fin de l’utilisation de cette salle des fêtes étant reportée, une « fenêtre » s’ouvrait pour la tenue du banquet Lutte ouvrière. Nous apprenions qu’une date avait été fixée, et qu’il ne restait qu’à ce que vous l’entériniez.
            Deux jours avant le conseil municipal, nous rencontrant sur le marché Héloïse, vous me dîtes que cela dépendrait de notre attitude lors du conseil municipal qui devait avoir lieu le 19 décembre. Chacun pourra juger du niveau d’une telle condition relevant plus d’une salle de classe primaire que des rapports qui doivent avoir lieu entre édiles et habitants.
            Le lendemain, nous croisant à nouveau, à l’occasion du « repas des anciens », vous me dîtes que nous aurions une réponse avant la fin de l’année. Celle-ci est arrivée, nous sommes le 17 janvier, et cette réponse ne nous est, malgré votre engagement, jamais parvenue.
            Loin de toute démocratie élémentaire, votre décision relève d’une attitude autocratique. Vous croyez nous faire payer de cette façon nos opinions et nos actes militants, puisqu’à Lutte ouvrière nous considérons que nos opinions impliquent que nous les mettions en pratique. Que nous dérangions vos opinions et vos actes, chacun le comprendra aisément, mais la démocratie la plus élémentaire exige qu’au-delà de tout, une place soit laissée à chacun, au niveau de l’expression comme de l’action et de ses moyens. Cela s’appelle les « libertés fondamentales ».
            Nous espérons que vos colistiers ne vous suivront pas sur cette voie, et nous appelons par ailleurs les Argenteuillais à être juge de son caractère désastreux.

                                                 Avec mes salutations,

                                                                  Dominique MARIETTE       



samedi 23 décembre 2017

Argenteuil : Georges Mothron et Lutte ouvrière. Pour notre part, loin d’une cour d’école


La « démocratie » même minimale n’est pas la loi d’une cour d’école

Depuis 1989, nous organisons un banquet annuel dans la vieille tradition fraternelle du mouvement ouvrier. Pour 2018, nous avions fait notre demande en octobre 2016. En raison de la confusion qui règne sur la situation de la salle Jean Vilar, nous n’avions jamais eu de réponse. Au vu du nouveau report de la désaffectation de cette salle que nous avons appris par hasard le 7 décembre dernier, il était dorénavant possible que le complexe nous soit attribué pour un samedi de mars prochain. Nous avons eu connaissance qu’une date était même prévue par les services municipaux pour cela. Il ne restait qu’à attendre la signature du maire d’Argenteuil…
         N’obtenant pas de réponse, le rencontrant sur le marché Héloïse dimanche dernier, nous lui avons posé le problème. Il m’a répondu que « cela dépendrait de notre attitude lors du conseil municipal de mardi » !?! Mercredi, nous l’avons croisé à nouveau et il a fini par me dire que nous aurions une réponse « avant la fin de l’année… ».
         Pour organiser ce banquet, c’est six mois à l’avance qui nous sont nécessaires. On voit dans quelle situation, la municipalité nous a mise. Bien évidemment, elle nous répond de cette façon suite à l’engagement militant que nous avons sur la Ville, et en particulier, suite au rôle que nous jouons dans l’action pour l’abandon du « projet Héloïse ».
              Nous prenons acte de tout cela.
          Heureusement, nous aurons déjà la possibilité de maintenir notre fête-banquet à Bezons le 10 février prochain.
         Cette situation a beaucoup perturbé la préparation de celle-ci, et nous ne pouvons attendre davantage. Si nous finissons par recevoir la signature du maire d’Argenteuil, nous verrons ce que nous ferions en mars.
         Mais dès maintenant nous en appelons à tous, et à tous ceux que ce refus de « démocratie » minimale à notre égard certes n’étonne pas mais révolte, pour assurer le succès de notre fête qui débutera le 10 février 2018 à 16 heures à la salle Aragon de Bezons. Nous demandons le soutien de nos proches, des militants ouvriers, de tous !
         Nous comptons sur vous. Prenez votre billet d’entrée.

         Salut et fraternité,

         Pour Lutte ouvrière-Argenteuil,

                   Dominique MARIETTE

Prix d’entrée pour les adultes avec repas : 15 euros, pour les enfants accompagnés : 7 euros. Chèques à l’ordre de Dominique Mariette, à transmettre ou envoyer au 2 de la rue Rouquès à Argenteuil.



lundi 4 décembre 2017

Banquet de Lutte Ouvrière 2018 à Argenteuil-Bezons


Réservez pour le banquet du 10 février 2018 !

 La municipalité d’Argenteuil nous a mis dans l’embarras, et nous ne savons toujours pas quand nous pourrons reprendre l’organisation de notre banquet sur la commune. En attendant, Bezons nous accueille le samedi 10 février prochain à la salle Louis Aragon. Donc, dès maintenant, et le plus vite possible, on réserve, 15 euros pour les adultes, et 7 euros pour les enfants de moins de 14 ans accompagnés.


vendredi 3 novembre 2017

Argenteuil : banquet de Lutte ouvrière : ombre... et lumière


Lueur d’espoir dans un ciel détestable

                                                                        

Le maire d’Argenteuil n’a toujours pas répondu à notre lettre d’octobre… 2016, où nous demandions la réservation du complexe Jean Vilar. Et pour cause, il est empêtré dans les conséquences de son « pôle Héloïse », gérées à la diable. En attendant, les associations, écoles, et autres, dont nous-mêmes, sont toujours dans la plus grande expectative pour organiser leurs évènements habituels du premier semestre 2018. La municipalité aurait pu installer une salle provisoire dans un grand gymnase en attendant la salle provisoire définitive prévue. Elle ne l’a pas fait. En attentant, la moindre des choses serait de nous donner des nouvelles. Mais non…
         Dans l’attente de celles-ci, la bonne nouvelle est que nos amis de Bezons nous accueilleront a priori dans la salle Aragon le samedi 10 février 2018 au soir.
         On peut déjà noter vite cette date qui nous donnera une première occasion de se retrouver ensemble, car nous ne perdons pas espoir du côté d’Argenteuil…

dimanche 15 octobre 2017

Argenteuil des associations mises à mal


La municipalité promettait aux associations aucun désagrément

 
Un banquet de la FNACA, en province, mais à Argenteuil c'était le même

Notre banquet Lutte ouvrière "à Jean Vilar"


Mes amis de la FNACA locale, l’association des anciens « appelés » de la Guerre d’Algérie., m’avaient invité à leur assemblée générale. Qu’ils en soient remerciés par cette brève. Cela m’a donné en outre l’occasion d’entendre Georges Mothron revenir sur son projet de démolir la salle des fêtes communale Jean Vilar.
         Mes amis tiennent un banquet chaque année. Pour 2018, ils sont dans la même situation que nous. La municipalité naviguant à vue entre la fin de l’utilisation du complexe Jean Vilar et l’installation de la structure dite « provisoire » au Val Nord est bien incapable de leur donner comme à nous une date pour que nous puissions chacun organiser notre banquet annuel. Cela est au point que pour la FNACA envisage d’annuler purement et simplement leur banquet 2018.
         Georges Mothron a bien été obligé de leur dire quelques paroles qui se voulaient réconfortantes et rassurantes… Que l’on en juge ci-dessous…
         La municipalité, assure-t-il, va leur trouver une solution.
         Quand va-t-elle le faire ? Alors que c’est maintenant que le succès ou pas d’une initiative pour le printemps prochain se décide.
         Et ce qui est vrai pour le banquet de la FNACA l’est également pour celui de Lutte ouvrière.
         On n’est bien loin de ce que la municipalité promettait en annonçant « l’opération Fiminco » : qu’il n’y aurait aucun dommage pour les associations. 

A suivre.

mercredi 12 juillet 2017

Associations, municipalité, vie locale à Argenteuil : pas très sérieux tout cela


Même pas à Pâques ni à la Trinité…

 A l’heure où nous écrivons en ce 12 juillet, nous n’avons toujours pas de réponse à notre demande de réservation d’une salle pour organiser notre prochain banquet édition 2018. Habituellement, nous recevions la réponse de la municipalité au plus tard en mars-avril. Nous sommes pratiquement à la mi-juillet… Et cette absence de réponse nous pose bien des problèmes, car un banquet d’une telle importance que le nôtre ne s’improvise pas.


         Tout cela est sans un effet collatéral lié à l’engrenage du « projet Héloïse » pour lequel la municipalité avance « à vue ». Certes.

         Mais la municipalité s’était engagée à ce que les associations et autres ne subissent aucun dommage conséquent à ce projet…

         A ce jour, la preuve est faite que c’était là une idée lancée en l’air.