Pollution, poussières, et en plus on nous casse les oreilles
En
un siècle, une augmentation crescendo de la pollution sonore
Nombre d’habitants de la Ville
n’ont pu partir en vacances cet été. En particulier ceux qui n’ont pu
débourser, pour retourner dans leur famille, l’achat de billets d’avion dont le
prix a augmenté voire s’est envolé. C’est le cas pour les originaires du
Maghreb, de l’Algérie en particulier, quand les billets coûtent 600, 700, 800
euros.
Pas
question de prendre l’avion pour bien des habitants cet été. En revanche, les
avions, ils ont particulièrement pu en subir les dommages sonores ces derniers
mois. Le week-end dernier, cela a été le bouquet. Des vols en continu, et
parfois à des altitudes avec effets sonores augmentés.
Et
l’impression que cela s’est aggravé ces dernières années.
Bof,
une ville populaire. Où les avions, bien des habitants pourront uniquement les
regarder de la terre, mais en en subissant néanmoins leurs graves dommages
sonores. DM