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lundi 3 octobre 2022

Camaïeu : licencier pour s’enrichir toujours plus

 

Le capitalisme dans toutes ses manœuvres

 

 

Mercredi 28 septembre, le tribunal de commerce de Lille a annoncé la liquidation judiciaire de la chaîne de vêtements Camaïeu, supprimant 2 600 emplois. Dans la salle du tribunal, la rage des travailleuses a éclaté contre le patron, Michel Ohayon : « On aura ta peau escroc ! », « et nos familles ? ».

         Ohayon, propriétaire du groupe FIP, présent dans l'immobilier et l'hôtellerie de luxe, a organisé la faillite de Camaïeu en ne payant plus les loyers, parfois les fournisseurs. Pour des bourgeois comme Ohayon, 104ème fortune française avec 1,1 milliard d'euros, la vie de milliers de travailleurs ne compte pour rien. Jusqu'à la révolte !

 

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CGT-PSA : non à l’exclusion de vrais militants ouvriers, oui à la démocratie de l’organisation des travailleurs

 

Signez la pétition. Cela concerne chaque travailleur, chaque militant de la CGT mais aussi de tous les syndicats.

 

Soyons à leur côté, signons la pétition

 

Soutenons les militants de la CGT-PSA historique de l’usine de Poissy menacés d’exclusion par la Fédération CGT de la métallurgie

Tribunal de Bobigny (93)

Jeudi 20 octobre à midi

 

 

Réunion publique de Lutte ouvrière à Argenteuil

Mardi 4 octobre

De 19 h.30 à 21 h.30

Espace Nelson Mandela

82 bd du Gl Leclerc

« Non aux sacrifices imposés par le grand patronat et le gouvernement ! »

 

                                                               Entrée libre et ouverte à tous

 

Renverser le capitalisme, une nécessité !

Meeting avec Nathalie Arthaud à Paris

Samedi 8 octobre, à 15h

Théâtre de la Mutualité, 24 rue Saint Victor, Paris 5e

Entrée libre

Départ collectif d’Argenteuil, RDV à 13 h.30 au « Café des deux gares »

 

Les prochaines permanences prévues.

-aujourd’hui lundi 3 octobre, de 18 à 19 heures, centre commercial des Raguenets à Saint-Gratien. (Sous réserve)

-mercredi 5 octobre, de 11 h. à 11 h.30 au marché des Champioux.

 

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,5 euro), et Lutte de classe (2,5 euros) n° 226 à paraître :

                   Notre hebdomadaire en vente :

           -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac du Val-Nord ;            

         -librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri (On y trouve aussi la LDC)

jeudi 24 juin 2021

Renault et Stellantis : fabricants de… misère !

 

Quand on tue l’avenir des travailleurs et de leurs familles…

 


Avec la liquidation de la fonderie MBF Aluminium de Saint-Claude, dans le Jura, prononcée le 22 juin au tribunal de commerce, ce sont 300 travailleurs qui vont être mis à la rue. Certains se révoltent au cri d’« Assassins ! » adressé à Macron et à l’État qui laisse les groupes Renault et Stellantis (ex-PSA) se dégager de leurs commandes, alors qu’en tant que principaux donneurs d’ordre de cette fonderie, ces capitalistes sont les responsables et les profiteurs de cette catastrophe.

Seule une répartition du travail rationnelle au sein de la filière automobile - non orientée vers la maximisation des profits - pourrait préserver tous les emplois.

Les actionnaires de ces groupes automobiles, qui ont accumulé des milliards de dividendes, s’en moquent et font la guerre aux salariés. Les travailleurs de la fonderie ont toutes les raisons de vouloir les faire payer.

samedi 9 janvier 2021

Michelin (Clermont-Ferrand) : Première réaction

 

Une réaction salutaire

 

Rassemblement devant la Combaude

Dès jeudi matin, une quarantaine de travailleurs de la Combaude, à Clermont-Ferrand, se sont réuni pour aller demander des comptes à la direction de l’usine sur le plan de suppression de postes annoncé la veille.

         Ils ont dit leur colère et leur inquiétude pour l'avenir des jeunes qui ne trouveront encore plus difficilement du travail avec ces suppressions d'emplois.

         Ainsi, au service MMS une dizaine d’entre eux doit partir en retraite dans les 3 prochaines années sur un effectif d’environ 80. S’ils ne sont pas remplacé, ce sera encore plus de travail pour ceux qui restent.

         Ils ont raison de ne pas accepter l'inacceptable.