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vendredi 22 décembre 2017

"Prime d'assiduité" à la mairie d'Argenteuil, un communiqué de Lutte ouvrière-Argenteuil



-Communiqué de Lutte ouvrière-Argenteuil-

La démagogie anti-ouvrière du maire d’Argenteuil

Après avoir augmenté le temps de travail des agents de la mairie et supprimé des centaines de postes de contractuels, le maire LR d’Argenteuil veut mettre en place une prime d’assiduité : d’un montant de 500 euros par an, elle serait diminuée de 25 % pour chaque jour non travaillé. Au bout de quatre jours, il n’en resterait donc plus rien, et cela quelle que soit la cause de l’absence : arrêt maladie, grève, mais aussi congé maternité…
Les politiciens réactionnaires de l’acabit de ce maire rêvent de revenir à l’époque de Germinal, quand les travailleurs n’avaient aucun droit. Il faudrait lui rappeler que Germinal, c’est aussi l’histoire d’une grève !
                                                                 Le 22.12.18.


mardi 3 juin 2014

Territoriaux d'Argenteuil : ne laissons pas des centaines de travailleurs rejoindre Pôle emploi

Communiqué de Lutte Ouvrière-Argenteuil


Alerte !

Le nombre de travailleurs au chômage ne cesse d’augmenter dans le pays, et il faudrait que des licenciements aient lieu en silence et sans réaction à Argenteuil parmi le personnel municipal ? C'est pourtant ce qui est en train de se produire dans la commune.
         Nous le répétons, les agents contractuels sont dans le viseur de la nouvelle municipalité.
Elle nous parle de la situation budgétaire catastrophique de la commune. Mais les personnels sont la priorité. On ne peut pas envoyer au chômage des personnels après usage.
         Comment faire ? La municipalité  trouvera bien une solution. Et la population peut avoir son idée sur la question.
         Si le travail manquait, il faudrait répartir celui-ci entre tous. Mais, loin de là, les besoins à couvrir sur la localité exigent le maintien de tous les personnels du service public municipal.

         Prenons, à l’échelle du pays, ce qui vient de se produire dans le secteur de la Défense. Le gouvernement avait annoncé la réduction des crédits. Des dirigeants de l’armée ont menacé de démissionner si le gouvernement persistait. Face à cette menace, le gouvernement maintiendra les crédits.
         Ce qui est vrai à l’échelle du pays l’est également à l’échelle d’une commune. Il y a bien des moyens de pression à utiliser pour que la municipalité revienne sur ses projets à l’encontre des travailleurs communaux. Et  cela concerne tous les travailleurs territoriaux, titulaires ou non, toute la population, tous les syndicats, tous les militants du mouvement ouvrier, l'ensemble de la population. Ne laissons pas licencier ces travailleurs communaux sous prétexte de précarité.

                                                                                       le 3.06.14.

lundi 24 mars 2014

Indemnisation chômage : un communiqué de Lutte Ouvrière du 23.03.14.

Les patrons licencieurs vont faire payer leurs victimes

Derrière des effets d’annonces trompeurs visant à faire passer des reculs pour des avancées, le patronat vient d’obtenir de quelques syndicats leur approbation pour mettre en place de nouvelles règles d’indemnisations des chômeurs qui vont aggraver la situation déjà précaire de centaines de milliers de chômeurs.
      Même un licencié qui n’a, par exemple, qu’une malheureuse prime de licenciement de 9000 euros se verra privé d’indemnisation pendant 100 jours, au lieu de 75 aujourd’hui. Et cela peut aller jusqu’à 180 jours sans indemnisation en fonction du montant de la prime.
Car il s’agit de centaines de milliers de salariés mis à la rue chaque année par leur patron et privés par cette décision arbitraire de leur emploi et leur salaire.
       À cela s’ajoute la restriction des droits au chômage des intérimaires, des cotisations nouvelles pour les plus de 65 ans et d’autres attaques qui toucheront les uns et les autres. Au total le patronat va récupérer entre 400 et 800 millions d’euros sur le dos des chômeurs, sans pour son compte débourser un centime pour le chômage dont il est pourtant le seul responsable.
       Même si les licenciements économiques ont été retirés provisoirement de ce dispositif, il n’en reste pas moins injuste et scandaleux.
        Lutte Ouvrière proteste contre cette nouvelle attaque en règle contre le monde du travail et contre ceux dont la situation est la plus précaire et la plus dramatique. Pour renflouer les comptes de l’Unedic il faut commencer par interdire tous les licenciements en garantissant les salaires de tous.

                                                       Lutte Ouvrière le 23.03.14.


mercredi 19 mars 2014

La Poste-95 ne veut pas mettre la main à la poche pour la distribution des plis électoraux : un communiqué de Lutte Ouvrière-95

Communiqué de Lutte Ouvrière
                  
Alors que ce n’est pas général à tous les départements, La Poste du Val d’Oise ne veut pas indemniser comme il se doit le personnel pour la surcharge de travail que le tri et la distribution des plis électoraux imposent cette semaine à ses agents. Pourtant, nos impôts via l’Etat indemnisent La Poste pour cette tâche supplémentaire.
         Lutte Ouvrière-95 dénonce les pressions que subissent ici et là des agents justement rétifs à cette surcharge de travail. Aux dernières nouvelles, l’indemnisation partielle pourrait concernée le temps supplémentaire des distributions. Mais pour réduire celui-ci, le courrier qui doit être normalement distribué ces jours-ci est mis en réserve. C’est inacceptable que La Poste s’attaque par les deux bouts à la population, aux agents, et aux usagers qui attendent leur courrier.


vendredi 28 février 2014

Meeting de Lutte Ouvrière le 7 mars à Paris : un communiqué de Lutte Ouvrière

Meeting de Lutte Ouvrière pour les élections municipales
Le gouvernement laisse les mains totalement libres au grand patronat. Celui-ci peut licencier, fermer les usines, augmenter les charges de travail et bloquer les salaires pour accroître toujours plus ses profits. Toutes les exigences patronales ont été exaucées.
Même si le scrutin qui vient est celui des élections municipales, le prétendu caractère local de ces élections est une duperie. Et le résultat de ces élections aura un sens politique à l’échelle nationale.
Les élections qui arrivent doivent être l’occasion de faire entendre une opposition ouvrière à l’offensive patronale et à la politique gouvernementale.
C’est avec cet objectif que Lutte Ouvrière a constitué près de 200 listes dans les grandes villes, les villes ouvrières et les banlieues populaires du pays. Ces listes s’intituleront toutes : « Lutte Ouvrière - Faire entendre le camp des travailleurs ». Et lors des élections européennes qui suivront, Lutte Ouvrière présentera aussi partout des candidats sous le même drapeau.
Pour l’Île-de-France, Lutte Ouvrière organise une réunion publique le vendredi 7 mars à 20h30 rassemblant les candidats conduisant les 71 listes Lutte Ouvrière en région parisienne, et où Nathalie Arthaud et Jean-Pierre Mercier prendront la parole.