jeudi 28 février 2019

Algérie : la protestation s’amplifie


L’affirmation d’une volonté de changement



Nombre d'Algériens sont hostiles au maintien au pouvoir de la coterie de généraux et d'affairistes qui sont derrière le président fantôme Bouteflika. Une partie de la jeunesse exprime aujourd'hui ouvertement sa volonté de changement dans les rues du pays, révoltée par le chômage de masse, la misère et le manque de perspective qui la poussent à l'émigration.
Mais cette situation ne changera pas avec un simple changement de président, Pas plus qu'elle ne changera tant que l'économie - riche entre autres de pétrole et de gaz - restera dominée par la bourgeoisie algérienne et par l'impérialisme français. Seul un pouvoir des travailleurs peut répondre aux aspirations de la jeunesse algérienne... mais aussi à celles de l'ensemble de la population laborieuse.

Amiante : le combat continue


Un préjudice supplémentaire à faire reconnaître

Rassemblement le 30 mai 2017 pour le passage aux prud'hommes des 50 premiers dossiers pour préjudice d'anxiété.

 Le 12 mars, 1200 travailleurs ou retraités de Renault Trucks doivent passer devant le tribunal de Prud’hommes. Suite au classement, en 2016, du site de Vénissieux comme amianté, certains ont pu bénéficier d’une préretraite. Mais il y a aussi un préjudice d’anxiété à faire reconnaître pour tous ceux qui ont été exposés à la fibre tueuse et qui peuvent tomber malades à tout moment.
     Renault Trucks, comme tous les patrons qui ont utilisé l’amiante dans leurs usines, fait tout pour en minimiser les conséquences, après avoir caché pendant des années les risques de cette utilisation. A l’usine, beaucoup ont déjà été victimes et en sont morts. Leurs familles et tous les autres poursuivent ce combat pour faire payer les vrais responsables de cet empoisonnement à grande échelle.

Abus sexuels dans l’Eglise


Vatican : Tartuffes



Alors que le pape tente d'éteindre les scandales d'abus sexuels dans l'église catholique en désignant la main de Satan, le cardinal australien Pell a été reconnu coupable d'avoir agressé deux enfants de choeur dans la sacristie de la cathédrale de Melbourne il y a une vingtaine d'années. Pourtant ce pédophile avait été promu en 2013 par ce même pape. Et le Vatican en avait fait l'équivalent d'un ministre des finances de la papauté....
Et ce sont ces hommes qui font profession de morale et se mêlent de dicter les comportements de chacun, relayés dans de nombreux pays par les gouvernements...

Impressionnisme, Argenteuil, à la croisée des chemins


Fausse route de l’édile

Dès que nous les rencontrerons, nous proposerons aux animateurs de l’association locale « questions pour un champions » d’incorporer la question suivante, qui invite à la réception ci-dessous ? Ils sont trois, mais quel est le premier d’entre eux ?



          « Les routes des Impressionnistes » ne passeront pourtant plus à Argenteuil si le projet « Cap Héloïse » se réalise !

Argenteuil - Pôle Héloïse - enquêtes publiques, on se prépare (7) …


Comme une éponge



Dans son article d’Agora 95, Martine Lagain écrit :
« …La ville d’Argenteuil possède, depuis 2000, un plan de prévention des risques naturels, inondations par débordements de la Seine, commun avec la ville de Bezons (PPRI). La topographie de lieux, la mémoire des grandes crues, en particulier celle de 1910 (hauteur d’eau dans l’île Héloïse : 1,20 m), nous rappelle que cette ancienne île est une zone inondable. On peut d’ailleurs s’étonner que la limite des plus hautes eaux connues (PHEC) exclut une grande surface de l’île Héloïse. Les conditions de constructibilité sont très encadrées dans les zones bleues, vertes et violettes du PPRI. Par contre, le nouveau parc des Berges est, lui, en zone inondable et ne comporte aucune construction d’habitation ou d’établissement recevant du public. En principe, dans ces zones inondables, on ne doit pas construire ce type de bâtiments. C’est un principe de prévention élémentaire face au risque naturel que sont les débordements, certes, d’un fleuve de plaine tel que la Seine.
La sauvegarde de l’environnement est une préoccupation majeure dans ce type de grand projet. La mémoire du risque inondation ne doit pas être occultée sous prétexte de dispositifs techniques « performants » de construction de génie civil. C’est aussi cela une vraie démarche de développement durable. »

         Sur la base de cet extrait, à propos de « Cap Héloïse », deux questions :


         1.Quel poids prévu représente l’ensemble des constructions ?




Autorisation environnementale sur l’étude d’impact liée au permis de construire. Cette enquête se déroulera à l’hôtel de ville du 28 février au 30 mars 2019

permanences du commissaire enquêteur les 28 février de 11h00 à 14h00, 06 mars de 9h30 à 12h30, 18 mars de 11h00 à 14h00, 26 mars de 13h00 à 16h00, et le 30 mars de 9h00 à 12h00).

                                                  

Déclassement du parking desservant les salles Jean-Vilar et Pierre-Dux appartenant au domaine public routier communal. Cette enquête se déroulera à l’hôtel de ville du 15 au 30 mars 2019 -

permanences du commissaire enquêteur les 15 mars de 10h00 à 13h00, 18 mars de 11h00 à 14h00, 26 mars de 13h00 à 16h00, et le 30 mars de 9h00 à 12h00).
 



      2.Quelles conséquences et quelles contraintes de ce poids sur les sols composés d’alluvions composés « à la manière d’une éponge » ?






Demain matin vendredi 1er mars
sur LCI :  Interview de Nathalie Arthaud
à 09h00

mercredi 27 février 2019

Ascoval – repreneurs, manœuvres financières, subventions. Interdiction des licenciements !


Ne compter que sur la force collective


Le groupe Altifort, présenté comme le repreneur, a annoncé qu’il n’avait finalement pas trouvé les fonds nécessaires pour racheter Ascoval (aciérie de Saint-Saulve, ex-Vallourec). Est-ce la fin annoncée avec pour perspective imminente la fermeture du site ? Ou bien est-ce une nouvelle façon, pour les actionnaires d’Altifort, de faire du chantage pour toucher encore plus d’argent public, comme l’a fait Vallourec bien des fois par le passé ? En tous cas, les 281 travailleurs d’Ascoval se retrouvent de nouveau sous la menace du chômage.
Cela fait des mois que les patrons de Vallourec puis d’Ascoval mentent aux travailleurs en prétendant se préoccuper de leur sort. Et le gouvernement fait semblant d’être choqué en prétendant qu’Altifort a « trompé tout le monde », alors que les capitalistes repreneurs, fonds d’investissements, fonds de pensions, etc, utilisent systématiquement les mêmes méthodes ! Quant aux politiciens locaux de tous bords et aux dirigeants syndicaux, ils ont désarmé les travailleurs d’Ascoval en prétendant tous qu’ils allaient trouver une « solution industrielle » qui pourrait contenter tout le monde et sauver les emplois.
Les capitalistes comme Vallourec prennent uniquement leurs décisions en fonction de leurs intérêts financiers, quitte à détruire des emplois et des régions entières, en sous-traitant le sale boulot à des repreneurs-escrocs. Et le gouvernement est leur complice.
Les travailleurs d’Ascoval ne doivent compter que sur leur force collective pour défendre leurs emplois et leurs salaires.

Il faut interdire les licenciements

Les discussions entre les syndicats et le patronat sur l'assurance-chômage se sont terminées sans conclusion. D'un côté, le patronat a refusé tout système de bonus-malus pour les contrats courts. L'État, lui, en entendait 3,9 milliards d'euros de diminution des allocations chômage.
C'est maintenant au gouvernement de reprendre la main. La ministre du Travail se verrait bien imposer par décret la baisse de allocations, mais dans le climat de contestation qui règne actuellement ce serait jeter de l'huile sur le feu. Quant aux dirigeants des confédérations syndicales, ils jurent de ne pas la laisser faire. On aimerait pouvoir les croire.
Mais personne ne met en avant ce qui serait pourtant le plus juste : l'interdiction des licenciements et la répartition du travail entre tous, sans perte de salaire.

Hôpitaux de proximité, de plus en plus loin


Le drame n’est jamais loin



Nous avons évoqué hier la lutte qui se développe dans la région de Persan-Beaumont pour le maintien de plusieurs services et de dizaines de lits que l’ARS veut supprimer. Cette situation catastrophique de cet hôpital de Beaumont est à l’image de ce qui se passe dans bien d’autres hôpitaux à l’échelle du pays avec des conséquences qui peuvent être immédiatement dramatiques.
          Ainsi, une femme enceinte habitant près de Die, dans la Drôme, vient de perdre son bébé. La maternité de Die a fermé fin décembre, malgré les protestations. Pour accoucher, cette femme s'est rendue aux urgences de Die. De là on l'a emmenée en hélicoptère à Montélimar. Cela a pris trois heures, alors que Ie trajet en voiture ne dure qu'une heure.
La fin de la maternité locale s'avère criminelle. En France, les deux tiers des maternités ont fermé en quarante ans. Les ministres de la Santé, Buzyn comme les autres, ne connaissent que la rentabilité. La santé, voire la vie, passe après.

Sans Domicile Fixe : un nombre en augmentation inexorable


Lui dort tranquillement à l’Elysée



Un comptage précis a recensé 3 622 SDF à Paris, 10 % de plus que l'an dernier. Il y en aurait 200 000 dans tout le pays, mais il n'est toujours pas question de réquisitionner les bâtiments vides appartenant à de grandes sociétés.
Qui a dit : « Je ne veux plus voir des gens dormir dehors » ? Jospin, Sarkozy ou Macron ? Les trois... sans que rien ne change.

Compteurs « Linky » d’Enedis chez AB Habitat-Argenteuil-Bezons : une installation très controversée d’un matériel très controversé


Et en douce…

 
                                                                                          Photo France bleue

A la cité Champagne d’Argenteuil, propriété du bailleur dit social AB Habitat, il aura fallu un hasard pour que des locataires se rendent compte que l’on était en train de changer les compteurs électriques en les remplaçant par des compteurs « Linky ».
         Le moins que l’on puisse dire est que ce matériel est controversé. « Coûteux, nocif, intrusif… » comme s’interrogeait un périodique économique. Certains maires en conséquence en interdisent l’installation.
Certes, lorsque le boîtier de ce compteur se trouve à l’extérieur, vous ne pouvez pas vous opposer légalement à son installation. Mais la moindre des choses eût été que le bailleur en informe les locataires.
         Voilà un procédé qui n’est vraiment pas à l’honneur d’un bailleur tel qu’ABH !

Argenteuil - Pôle Héloïse - enquêtes publiques, on se prépare (6) …


Argenteuil ? Un grand lieu de l’Impressionnisme

Dans le dossier de l’enquête publique, le document « enquête environnementale piece B resumé non technique » est une mine d’informations mais surtout de réflexions propices à de nombreuses remarques.
         Nous commencerons par celle, déjà notée par des membres du Comité Jean Vilar.


         Tout d’abord, nous pouvons noter la façon dont tout cela est rédigé.
         Mais surtout, la réalité est tout autre de ce qui est affirmé.
         Le développement d’activité touristique constitue justement un enjeu très fort pour la commune, non pas « hormis », mais en liaison avec les berges de la Seine et donc avec le fleuve.
         Et c’est justement cela qu’hypothèque le projet « Cap Héloïse », en détruisant un peu plus un espace qui ne demanderait pas grand-chose pour être établi en un espace dédié à ce grand moment de l’histoire de la peinture.
         Malgré ce que le maire d’Argenteuil et le président du Conseil Economique d’Argenteuil font mine de croire et ce qu’ils disent, il y a toutes les chances de considérer que le passé d’Argenteuil lié aux industries de la seconde révolution industrielle est bien derrière nous.
         En revanche bien des activités pourraient se développer sur la Ville. De nature touristique directement, à voir. Mais surtout en liaison avec l’image que pourrait représenter Argenteuil en lien avec son passé lié à la peinture…
         Le CEA d’Argenteuil le réaffirme régulièrement. Il y aurait effectivement une carte à jouer en s’attelant véritablement à cette question.

mardi 26 février 2019


Editorial des bulletins Lutte ouvrière d’entreprise de ce lundi 25 février 2019


Ascoval, Ford, PSA : contre la logique capitaliste, nos intérêts de travailleurs !

 « Il faudrait faire payer l’impôt à tous, y compris aux plus modestes », a proposé la ministre de la Cohésion des territoires, Jacqueline Gourault. Le gouvernement a aussitôt démenti, mais un de ses représentants aura à son tour joué sa petite musique contre les plus pauvres. Quelques jours plus tôt, Edouard Philippe avait expliqué qu’il faudrait exiger des « contreparties » en échange du RSA, comme si les bénéficiaires des aides sociales étaient de bienheureux profiteurs. Dans la même veine, Gourault pointe du doigt les travailleurs non imposables sur le revenu qui n’auraient pas « le sens de l’impôt » !
Il fallait oser ce mensonge grossier, alors que même les smicards, les précaires, les chômeurs ou les retraités au minimum vieillesse payent la TVA, l’impôt le plus inégalitaire qui soit, puisqu’il est au même taux pour tous, milliardaires comme ouvriers.
Inspirées par leur chef, les troupes de Macron savent désigner les plus modestes comme des irresponsables auxquels il faudrait inculquer le sens du bien commun. Et elles rivalisent d’imagination pour proposer de nouvelles façons de présenter l’addition aux classes populaires, au nom de la justice sociale. Pour ce gouvernement comme pour ses prédécesseurs, tout est envisageable, sauf s’en prendre aux capitalistes, aux véritables fabricants du chômage et de la pauvreté.
Ces derniers jours, des annonces de fermetures d’entreprises se sont succédé dans le pays. À Blanquefort, près de Bordeaux, c’est Ford qui confirme la fermeture de son usine et laisse 800 travailleurs sur le carreau, sans compter ceux des sous-traitants. Dans l’Est, PSA veut transférer sa production d’Hérimoncourt à Vesoul, à plus de 80 km de là, menaçant les emplois de 200 ouvriers en CDI et 30 intérimaires. Ce sont autant de catastrophes pour des centaines de familles de travailleurs.
« Ces gens-là jouent avec les vies de 280 personnes », s’est exclamé un ouvrier de l’aciérie Ascoval à Saint-Saulve, dans le Nord. Il commentait l’annonce par le repreneur Altifort qu’il n’avait pas les fonds nécessaires pour remettre l’activité en route. C’est le trust Vallourec, riche à milliards, qui s’était débarrassé de l’aciérie en 2017. Du ministre Bruno Le Maire au président de la région Xavier Bertrand, tous avaient parlé de l’injustice de cette fermeture et même de l’irresponsabilité de Vallourec.
Aux mensonges des capitalistes pour justifier les fermetures d’usines succèdent les mensonges des dirigeants politiques, justifiant leur impuissance par de prétendues réalités économiques, la concurrence ou les décisions de groupes privés. Ceux-là, il n’est jamais question de les contraindre à quoi que ce soit ! Les politiciens, si prompts à menacer les chômeurs et les bénéficiaires d’aides sociales qui ne permettent que de survivre, n’ont exigé aucune contrepartie aux centaines de millions d’euros que l’État a versés à Vallourec au fil des ans, en prétendant sauver les emplois et l’usine.
Oui, dans sa course au profit, le grand capital ne tient pas compte de la vie des familles ouvrières qu’il condamne, des régions où toute la vie sociale se dégrade quand le travail disparait. Les travailleurs n’ont que leur salaire pour vivre et ils n’ont la main sur aucune des décisions qui affectent toute leur vie. Le pouvoir d’achat, les contraintes et la durée du travail, l’organisation de la vie de famille, rester dans une région ou en partir faute d’emploi : toute notre vie dépend des intérêts d’une poignée de grands actionnaires.
Cette logique n’écrase pas seulement la classe ouvrière. Les petits commerçants d’Hérimoncourt, qui ont baissé le rideau et manifesté aux côtés des travailleurs de PSA contre la fermeture de l’usine le savent. Ils dépendent du pouvoir d’achat des travailleurs et sont bien souvent sous la coupe des banques et des fournisseurs. Et parmi les agriculteurs, auprès desquels Macron est allé faire son show à l’ouverture du Salon de l’agriculture, combien ne vivent pas de leur travail, pris en tenaille entre les prêts bancaires d’un côté et la grande distribution de l’autre ?
Dans ce capitalisme en crise, la grande bourgeoisie intensifie l’exploitation pour maintenir ses profits. Elle continuera à tirer les travailleurs en arrière s’ils n’organisent pas la riposte. Les travailleurs sont au centre de la production et font fonctionner toute la société. Ils peuvent imposer leur contrôle à ces grands groupes, dont les décisions conditionnent le droit à l’existence des classes populaires. Oui, les travailleurs ont les moyens de contester la domination du grand capital, qui menace l’avenir de toute la société.

Djibouti, excision, non à l’extradition de Mohamed Kadamy


Nous avons reçu un message de nos amies de l’association Femmes solidaires à propos des craintes sur le sort d’un militant contre l’excision, menacé aujourd’hui d’extradition.
« Mohamed Kadamy est le mari d'Aicha Dabalé, à l'origine, avec Yvette Barilleau, du projet "Kimbidalé" internat/école contre l'excision et l'absuma, en pays Afar d' Ethiopie... ( projet que nous avons présenté au salon du livre) Je te transfère le document à tout hasard.
Décidément, le gouvernement tend la main, à travers sa politique d'extraditions, à l'extrême droite en Europe et aux dictatures .... comme si la vengeance et l'humiliation étaient des armes indispensables pour conforter un pouvoir !... »

C’est bien volontiers que nous diffusons le communiqué national de Femmes solidaires


Hôpital de Beaumont-sur-Oise, suppression de services et de lits


Non à la réduction des services


L’ARS d’Ile de France et la direction de l’hôpital de Beaumont-sur-Oise dans le Val d’Oise ont décidé de supprimer un certain nombre de services essentiels pourtant pour la population. Des rassemblements de protestation ont déjà eu lieu auxquels Lutte ouvrière a apporté son soutien. Un comité de défense s’est mis en place.
         Ci-dessous des informations de ce Comité et une affiche de celui-ci.






Argenteuil – Défense de Jean Vilar, engagements non tenus


« Promesses » version municipale



Alors que la première enquête publique sur l’aspect environnemental commence ce jeudi 28 février, la municipalité demeure muette.
         Pourtant…
         Comme élément de cette enquête, Fiminco, le promoteur, présente un « résumé non technique » de son projet.
       1.Quelles sont les différences avec ce qui avait été présenté précédemment ?

       2.Ces différences répondent-elles aux souhaits de la municipalité qui a déclaré il y a un certain temps déjà qu’elle souhaitait des changements substantiels au projet initial ?
         3.Qu’en pense donc aujourd’hui la municipalité ? Une question tout à fait légitime alors que deux enquêtes publiques vont démarrer.
         Par ailleurs, il faut rappeler que la réunion publique promise sur le sujet n’a jamais eu lieu.
         Certes, le silence est une politique. Mais les habitants ne peuvent qu’être confortés par celui-ci dans le sentiment que l’on est en train de leur jouer un mauvais tour.

Argenteuil - Pôle Héloïse - enquêtes publiques, on se prépare (5)


Préparons notre plume

Ci-dessous, le message du Comité Jean Vilar, avec les références nécessaires pour préparer les enquêtes publiques

Nouvel article sur COMITE JEAN VILAR: Pourquoi nous nous opposons a la destruction de la salle jean vilar
https://ecp.yusercontent.com/mail?url=http%3A%2F%2Fs0.wp.com%2Fi%2Femails%2Fblavatar.png&t=1551102451&ymreqid=90e49332-5bb3-8736-2f0d-a60102010000&sig=cKP_qcnKSzUSCiyfWg1PJg--~C


https://ecp.yusercontent.com/mail?url=http%3A%2F%2F0.gravatar.com%2Favatar%2Ff7671a38c775e9d882c7884085ba6a68%3Fs%3D50%26d%3Didenticon%26r%3DG&t=1551102451&ymreqid=90e49332-5bb3-8736-2f0d-a60102010000&sig=PPQAvYZHWcfw81y4JEHJaA--~C
L'enquête publique environnementale se déroulera du 28 février au 30 mars 2019. Elle  permet aux habitants de s'exprimer sur les réponses environnementales qu'apporte le promoteur FIMINCO sur la viabilité écologique du projet et ses conséquences sur la Seine, la pollution de l'air, des sols, le trafic routier, la qualité architectural etc...
On peut regretter que l'accès aux documents soit si difficile: peu de publicité dans la ville, pas de débat organisé par la mairie, trop faible ouverture des bureaux pour consulter les documents, bref... le Comité Jean Vilar prend ses responsabilités et met à disposition, facilement, tous les documents, sans avoir à dézipper les fichiers (ce que demande la préfecture du Val d'Oise, une contrainte supplémentaire qui rebutera plus d'un Argenteuillais!).
Nous reviendrons dans les jours qui viennent sur une analyse des documents, une analyse accessible. D'ici là, bonnes lectures!
NOTE pour ne pas se perdre dans les sigles des différents protagonistes:
ARS: Agence régionale de santé: agence de l' Etat, elle émet un avis sur les questions de santé publique.
DRIEE IDF: Direction régionale et interdépartementale de l’énergie et de l'eau de l'Ile de France: agence régionale: chargée de mettre en œuvre les politiques de l'État en matière d'environnement, d'énergie et de transition énergétique en Île-de-France, notamment dans les domaines, notamment:
·         de la prévention et de l'adaptation aux changements climatiques ;
·         de la préservation et de la gestion des ressources ;
·         de la préservation du patrimoine naturel, des sites et des paysages, de la biodiversité
DRAC: direction régionale des affaires culturelles, dépend du ministère de la Culture, elle donne son avis sur les questions architecturales  relatives au projet Héloïse.
pièces complémentaires:
et pour terminer: les différents échanges avec l'ARS: