mardi 6 mars 2018

Logement et « sans domiciles fixes » : pas besoin d’un mot nouveau lié à des maux anciens d’une société où seul le profit est roi


Un monde capitaliste sans… pitié

 

Ce terme nous avait échappé, mais voilà que les gestionnaires pédants de la société capitaliste popularisent depuis peu sous le terme de « sans-abrisme », le fait d’être, vous l’aurez compris, sans domicile fixe. Il aurait été traduit récemment du terme anglais correspondant, « homelessness ».
         On imagine tous ces messieurs gloser sur le sujet à qui mieux-mieux.
         Comme si la richesse de la société n’offrait pas la possibilité à toute la population de se loger correctement. Il est vrai que pour cela, il faudrait liquider le capitalisme, un objectif totalement étranger à ces gens-là.
         C’est la société capitaliste qui génère le mal-logement ou l’absence du tout de logement. C’est sa fin qui y mettra un terme.

1 commentaires:

Metezeau a dit…

Le plus important n’est pas le vocabulaire bien sûr, mais les mots ont leur importance. Aussi je préfère utiliser le terme de « sans domicile stable » qui correspond davantage à la réalité subie par trop de personnes.

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