samedi 17 juin 2017

Argenteuil-Bezons, 5ème circonscription du Val d'Oise, F Lazaar, P. Doucet : les couleuvres d'hier n'excusent pas les couleuvres de demain


Représentants du capital, d’hier ou de demain, pas une question de style

 

Notre article de notre blog « lo argenteuil » intitulé « Gonflé ! » a obtenu un beau succès hier sur les réseaux sociaux et a été « partagé » de nombreuses fois. Comme de bien entendu, nous nous en réjouissons, en postant néanmoins le présent bémol.

         Notre article portait sur un des derniers tracts de l’encore-député dénonçant à travers la candidature de sa rivale d’En marche toutes les attaques que prépare ouvertement Macron contre le monde du travail. Des attaques en préparation, bien réelles et indiscutables. Ce qu’il y avait de cocasse, si l’on peut dire, c’est que l’on pouvait pratiquement transposer, point à point, les différents éléments de ce tableau noir des attaques de demain aux attaques bien réelles d’hier que, de 2012 à 2017, l’encore député Philippe Doucet a été le défenseur très zélé ! Mais cela, celui-ci, victime sans doute des vapeurs de la peinture utilisée pour se repeindre en rose et en homme dit de « gauche », l’a complètement contourné. Dans ce tract, l’opération était tellement grosse, que l’on ne pouvait que s’esclaffer et dire : « gonflé ! »

         Bien évidemment, les partisans de la rivale de ce dimanche de l’encore député s’en sont donné à cœur joie à la vue du caméléon de première classe. C’est humain, mais que ceux d’entre eux qui veulent réfléchir n’oublient pas que si les attaques de Macron font sourire lorsqu’elles sont dénoncées par P. Doucet, elles sont néanmoins bien réelles, et que, pour notre part, nous appelons le monde du travail à se préparer dès maintenant à les contrer.

         Leur candidate a dans cette campagne été bien discrète sur tout cela qui est le fonds du chef Macron, lequel entend à lui faire jouer le rôle de « godillot ».

         Bien sûr, qui vivra verra, mais nous allons vite voir. A chacun, demain, d’en tirer les conclusions, et après-demain, à continuer à en discuter très sérieusement.

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