La jeunesse mérite un autre avenir
« Ni Marine, ni Macron, ni
patrie, ni patron ». A Paris, Rennes, Lyon ou Nantes, c'était l'un des slogans
repris par des lycéens bloquant leur lycée ou manifestant dans la rue. Même si
ces mouvements ont été très minoritaires, ils reflètent une inquiétude partagée
par des jeunes qui ne veulent pas d'une société où le seul choix serait entre
un régime autoritaire et xénophobe d'un côté, et de l'autre, un président ne
cachant pas son intention d'aider les capitalistes à faire encore plus de
profit en détruisant toutes les protections sociales.
Le
capitalisme en crise est porteur de toutes les abominations que le monde a déjà
connues dans les années 1930 : misère généralisée, dictature féroce,
exploitation de plus en plus féroce. Vivement que la jeunesse, dans sa
recherche de justice sociale, et d'un monde de fraternité se batte pour changer
ce vieux monde.
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