vendredi 14 octobre 2016

Argenteuil : dernier conseil municipal : ces messieurs s'amusent



Pour sourire un peu

1.Très gentil avec son nouvel ami, le député a fait remarquer au maire à deux reprises que le quorum n’était plus atteint, mais que, grand seigneur l’opposition n’en faisait pas un problème. Pas très sérieux tout de même.

2. A propos de l’affaire S. Anzagh et des échanges peu amènes entre certains de ses colistiers, G. Mothron évoque la « franche camaraderie » qui aurait dû être de rigueur, mais que la réalité avait été bien différente : « je me trouvais devant une école maternelle ». Si au moins, il en tirait la conclusion de la nécessité d’une ATSEM par classe dans les écoles maternelles de la Ville…

3. Au moment de cette éviction, certains veulent intervenir. G. Mothron leur dit : « Après le vote ! «  Il finit tout de même par se raviser, se souvenant brusquement que le minimum du minimum est tout de même… de discuter avant de décider, et non l’inverse, et finit par donner la parole…

4. le moment de bravoure de la soirée digne du clown Chocolat, c’est justement le vote lui-même. Il se fait dans la confusion la plus totale. Il est recommencé, sans que l’on sache toujours exactement, au final, le résultat. Ainsi,  concernant le nombre des abstentions, G. Mothron en déclare trois, mais comme ce n’est pas très net, il demande de refaire le vote à main levée de ceux qui s’abstiennent, et une seule main se lève… Très colère, le maire, un peu perdu, s’en prend à son directeur de cabinet et à des membres de la direction générale de la Ville tout aussi perdus que lui.
         Un conseil, la prochaine fois qu’il y a un problème dans la cour d’école maternelle de la majorité municipale à Argenteuil, le maire peut mettre sur pied une commission électorale supervisée par l’ONU, installer une bonne vidéosurveillance de confiance, et offrir avant tout vote à sa hiérarchie une calculette dernier cri…

 

Le site "engagés pour Argenteuil" a décidé d'approfondir les aspects troubles du projet "Héloïse", chaque jour, dans les 40 jours qui viennent. Qu'on se le dise, et à suivre donc.

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