Durant l’activité de campagne que j’ai effectuée hier au
soir devant le Monoprix près de la gare, il a été question de… salaire.
C’est la
maman d’une ex-élève qui, alors que je parle des problèmes de l’heure, m’interrompt
gentiment et me dit : « d’abord les salaires ! ». C’est ce
cadre d’une entreprise sous-traitante de l’aéroport de Paris qui me dit : « Les
gars sont en grève, pour les salaires, je les comprends, ils ont bien raison ».
Les
salaires, avec l’emploi, sont bien une des préoccupations prioritaire pour le
monde du travail dont une fraction importante n’arrive plus à s’en sortir.
Quand le
pouvoir d’achat chute, une municipalité peut toujours développer des aides et
des services plus ou moins gratuits. Ce n’est pas elle qui paiera ni le panier
alimentaire ni le loyer.
Il faut une
augmentation générale et substantielle de tous les salaires du monde du
travail, et l’échelle mobile de ces salaires à la mesure de la hausse mensuelle
des prix mesurée par les travailleurs. DM
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