Le
gouvernement espagnol a annoncé un déficit pour 2011 beaucoup plus important
que prévu. Les banques en ont profité pour relancer la spéculation sur
l’intérêt des prêts d’États.
Tout
cela sert de prétexte aux banquiers pour imposer des mesures d’austérité aux
travailleurs. Le salut des travailleurs passera par une lutte d’ensemble, tout
aussi contagieuse que leur crise, mais porteuse d’un tout autre avenir.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire